Lorsquele droit de rétractation est exercé, le professionnel est tenu de rembourser le consommateur de la totalité des sommes versées, dans les meilleurs délais et au plus tard
dĂ©veloppement et la diffusion de moyens de transport Ă faibles Ă©missions de gaz Ă effet de serre et de polluants atmosphĂ©riques constituent une prioritĂ© au regard des exigences de la transition Ă©nergĂ©tique et impliquent une politique de dĂ©ploiement d'infrastructures dĂ©diĂ©es. Afin de permettre l'accĂšs du plus grand nombre aux points de charge de tous types de vĂ©hicules Ă©lectriques et hybrides rechargeables, la France se fixe comme objectif l'installation, d'ici Ă 2030, d'au moins sept millions de points de charge installĂ©s sur les places de stationnement des ensembles d'habitations, d'autres types de bĂątiments, ou sur des places de stationnement accessibles au public ou des emplacements rĂ©servĂ©s aux professionnels. Les diffĂ©rents leviers permettant le dĂ©ploiement de ces points de charge sont prĂ©vus par la stratĂ©gie pour le dĂ©veloppement de la mobilitĂ© propre, prĂ©vue Ă l'article 40 de la prĂ©sente loi. Ce dĂ©ploiement est notamment favorisĂ© en incitant les collectivitĂ©s territoriales Ă poursuivre leurs plans de dĂ©veloppement, en encourageant l'installation des points de charge dans les bĂątiments tertiaires et dans les bĂątiments d'habitation et en accompagnant les initiatives privĂ©es visant Ă la mise en place d'un rĂ©seau Ă caractĂšre national accessible, complĂ©mentaire du dĂ©ploiement assurĂ© par les collectivitĂ©s territoriales. L'utilisation mutualisĂ©e des points de charge par des vĂ©hicules Ă©lectriques et hybrides rechargeables, en particulier dans le cadre de l'auto-partage ou du covoiturage, est favorisĂ©e afin d'assurer une utilisation optimale de ces points de charge et la mise Ă disposition de vĂ©hicules Ă©lectriques Ă un nombre Ă©largi de personnes. dĂ©veloppement et la diffusion de l'usage du vĂ©lo et des mobilitĂ©s non motorisĂ©es constituent une prioritĂ© au regard des exigences de la transition Ă©nergĂ©tique et impliquent une politique de dĂ©ploiement d'infrastructures dĂ©diĂ©es. Afin de permettre le recours du plus grand nombre Ă ces mobilitĂ©s, la France se fixe un objectif de dĂ©ploiement massif, avant 2030, de voies de circulation et de places de stationnement rĂ©servĂ©es aux mobilitĂ©s non motorisĂ©es, en particulier de stationnement sĂ©curisĂ© pour les vĂ©los. Ces mobilitĂ©s sont favorisĂ©es en incitant les collectivitĂ©s territoriales Ă poursuivre la mise en Ćuvre de leurs plans de dĂ©veloppement. A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de la construction et de l'habitation. Art. L161-3 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de la construction et de l'habitation. Art. L111-5-2, Art. L111-5-4 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de l'urbanisme Art. L123-1-12 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 Art. 24 les bĂątiments industriels mentionnĂ©s au 2° du I de l'article L. 111-5-2 du code de la construction et de l'habitation, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du III du prĂ©sent article, le mĂȘme I s'applique aux bĂątiments pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017. II du mĂȘme article L. 111-5-2, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du III du prĂ©sent article, s'applique aux bĂątiments pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017. mentionnĂ©e au III dudit article L. 111-5-2, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du III du prĂ©sent article, s'applique 1° Aux bĂątiments constituant un ensemble commercial ou accueillant un Ă©tablissement de spectacles cinĂ©matographiques Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es Ă la clientĂšle pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017 ; 2° Aux ensembles d'habitations Ă©quipĂ©s de places de stationnement individuelles non couvertes ou d'accĂšs non sĂ©curisĂ©, aux bĂątiments Ă usage industriel Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es aux salariĂ©s, aux bĂątiments Ă usage tertiaire ne constituant pas principalement un lieu de travail Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es aux salariĂ©s et aux bĂątiments accueillant un service public Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es aux agents ou aux usagers du service public pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017.
ArticleL121-1. I.-Une pratique commerciale est trompeuse si elle est commise dans l'une des circonstances suivantes : 1° Lorsqu'elle crée une confusion avec un autre bien ou service, une
Le Code de la consommation regroupe les lois relatives au droit de la consommation français. Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la consommation ci-dessous Article L121-11 EntrĂ©e en vigueur 2018-10-01 Est interdit le fait de refuser Ă un consommateur la vente d'un produit ou la prestation d'un service, sauf motif lĂ©gitime ; Est Ă©galement interdit le fait de subordonner la vente d'un produit Ă l'achat d'une quantitĂ© imposĂ©e ou Ă l'achat concomitant d'un autre produit ou d'un autre service ainsi que de subordonner la prestation d'un service Ă celle d'un autre service ou Ă l'achat d'un produit dĂšs lors que cette subordination constitue une pratique commerciale dĂ©loyale au sens de l'article L. 121-1. Est Ă©galement interdit le fait de subordonner la vente d'un bien ou la fourniture d'un service Ă la conclusion d'un contrat d'assurance accessoire au bien ou au service vendu, sans permettre au consommateur d'acheter le bien ou d'obtenir la fourniture du service sĂ©parĂ©ment. Pour les Ă©tablissements de crĂ©dit et les organismes mentionnĂ©s Ă l'article L. 518-1 du code monĂ©taire et financier, les rĂšgles relatives aux ventes subordonnĂ©es sont fixĂ©es par les dispositions du 1 du I de l'article L. 312-1-2 du mĂȘme code. Les dispositions du prĂ©sent article s'appliquent Ă toutes les activitĂ©s de production, de distribution et de services, y compris celles qui sont le fait de personnes publiques, notamment dans le cadre de conventions de dĂ©lĂ©gation de service public.
L121-1 du code de la consommation) ou d'encadrer, à titre d'exemples, le crédit à la consommation, ou certaines méthodes de vente (vente à distance, démarchage à domicile). Le droit français présente la particularité de prévoir des sanctions pénales en cas de manquement aux principales obligations qu'il prévoit. C'est le cas, notamment, des fraudes et falsifications,
dossier partagĂ© Utilisation des cookies sur Lexbase Notre site utilise des cookies Ă des fins statistiques, communicatives et commerciales. Vous pouvez paramĂ©trer chaque cookie de façon individuelle, accepter l'ensemble des cookies ou n'accepter que les cookies fonctionnels. En savoir plus Parcours utilisateur Lexbase, via la solution Salesforce, utilisĂ©e uniquement pour des besoins internes, peut ĂȘtre amenĂ© Ă suivre une partie du parcours utilisateur afin dâamĂ©liorer lâexpĂ©rience utilisateur et lâĂ©ventuelle relation commerciale. Il sâagit dâinformation uniquement dĂ©diĂ©e Ă lâusage de Lexbase et elles ne sont communiquĂ©es Ă aucun tiers, autre que Salesforce qui sâest engagĂ©e Ă ne pas utiliser lesdites donnĂ©es. DonnĂ©es analytiques Nous attachons la plus grande importance au confort d'utilisation de notre site. Des informations essentielles fournies par Google Tag Manager comme le temps de lecture d'une revue, la facilitĂ© d'accĂšs aux textes de loi ou encore la robustesse de nos readers nous permettent d'amĂ©liorer quotidiennement votre expĂ©rience utilisateur. Ces donnĂ©es sont exclusivement Ă usage interne.
ArticleL121-16 du Code de la consommation : consulter gratuitement tous les Articles du Code de la consommation. Le Code de la consommation regroupe les lois relatives au droit de la
1. Les pratiques commerciales trompeuses sont applicables aux relations entre professionnelsDerriennic & AssociĂ©s 25 juillet 2022[âŠ] En rĂ©ponse Ă ce pourvoi, la Cour de cassation a rappelĂ© le contenu de l'article L121-1 du Code de la consommation dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă l'ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 et est venue rĂ©affirmer le principe selon lequel les pratiques commerciales trompeuses sont Ă©galement applicables aux pratiques qui visent les professionnels ». L'arrĂȘt de la cour d'appel a donc Ă©tĂ© cassĂ©. [âŠ] Lire la suiteâŠ2. La publicitĂ© sur 20 avril 2022L'article L. 121-1 du Code de la consommation prĂ©voit cette exigence selon laquelle toute publicitĂ© comportant des allĂ©gations, indications ou prĂ©sentations fausses ou de nature Ă induire en erreur, lorsque celles-ci portent sur l'un ou plusieurs des Ă©lĂ©ments ci aprĂšs existence, nature, composition, qualitĂ©, prix, espĂšce, origine, quantitĂ©, mode et date de fabrication⊠des biens ou services qui font l'objet de la publicitĂ© [âŠ] [âŠ] Par principe, selon les dispositions de l'article L121-5 du Code de la consommation la personne pour le compte de laquelle la pratique commerciale trompeuse est mise en Ćuvre est responsable, Ă titre principal, de l'infraction commise. Le dĂ©lit est constituĂ© dĂšs lors que la pratique commerciale est mise en Ćuvre ou qu'elle produit ses effets en France. [âŠ] Lire la suiteâŠ3. PublicitĂ© trompeuse qualification et sanctionsGouache Avocats 28 fĂ©vrier 2022La mĂȘme annĂ©e, la loi du 4 aoĂ»t 2008 dite Loi LME » a introduit dans le Code de la consommation un article dĂ©crivant des situations dans lesquelles la pratique commerciale trompeuse Ă©tait prĂ©sumĂ©e. Cet article est applicable aux professionnels Ă©galement. Lire la suiteâŠVoir les commentaires indexĂ©s sur Doctrine qui citent cet articleVous avez dĂ©jĂ un compte ?
Codede la consommation : article L121-20-5 Contrats conclus à distance et hors établissement; Code de la consommation : article L211-1 à L211-4 Obligations relatives aux contrats, au droit de rétractation et à la prospection commerciale; Code de la consommation : article L213-1 Archivage du contrat conclu par voie électronique; Code de la consommation : article L216-3 Délai de
RĂ©sumĂ© du droit des contrats dans le code civil et le code de la consommation 27 septembre 20109 dĂ©cembre 20135459 Quâil sâagisse de biens de consommation ou de services, le contrat est le lien juridique entre le consommateur et son fournisseur ; particulier, commerçant, entreprise, organisme, etc. 1 â PRINCIPES GENERAUX Article 1101 du Code civil âLe contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes sâobligent envers une ou plusieurs autres Ă donner, Ă faire ou Ă ne pas faire quelque choseâ. article 1134 du Code civil â Les conventions lĂ©galement formĂ©es tiennent lieu de loi Ă ceux qui les ont faitesâŠâ En principe donc â Chacun est libre de contracter ou non ; le choix du contractant est libre et le contenu du contrat est librement dĂ©terminĂ© entre les parties. â Les contrats sont valables par le seul Ă©change des consentements concrĂ©tisĂ© gĂ©nĂ©ralement par la signature des deux parties. Cela signifie quâil existe une grande libertĂ© des parties avant la signature dâun contrat ; le client est roi et peut imposer sa volontĂ©. Signature = engagement ferme et dĂ©finitif. Par contre, aprĂšs la signature, ce qui est Ă©crit le lie dĂ©finitivement. En cas de non-respect des engagements pris par une partie, lâautre partie peut engager une procĂ©dure judiciaire pour faire respecter les termes du contrat et/ou obtenir un dĂ©dommagement. 2 EXCEPTION DELAIS DE REFLEXION Certaines transactions placent le consommateur dans une situation de faiblesse par rapport au professionnel. Câest pourquoi des lois ont accordĂ© au consommateur un dĂ©lai de rĂ©flexion appelĂ© aussi dĂ©lai de renonciation ou dĂ©lai de rĂ©tractation durant lequel son engagement nâest pas encore dĂ©finitif. Le dĂ©lai de rĂ©flexion se distingue de la facultĂ© de dĂ©dit en ce quâil nâest liĂ© Ă aucune contrepartie financiĂšre. Secteurs concernĂ©s 21 â CrĂ©dit Ă la consommation 14 jours Ă compter de lâacceptation de lâoffre prĂ©alable Il faut que â le prĂȘteur soit un professionnel ; â le crĂ©dit soit dâune durĂ©e supĂ©rieure Ă trois mois ; â le montant du prĂȘt soit infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 21 500 ⏠; â le crĂ©dit soit pour la consommation personnelle et non professionnelle art. L311-15 et L311-17 du Code de la Consommation. Attention pour que lâannulation du crĂ©dit entraĂźne lâannulation du contrat, il faut que la mention du crĂ©dit figure sur le bon de commande le crĂ©dit doit ĂȘtre affectĂ© Ă lâachat du produit crĂ©dit liĂ©. 22 â CrĂ©dit immobilier â 10 jours Ă compter de la remise de lâoffre ; â pas de rĂ©tractation mais au contraire, acceptation qui doit transiter par voie postale art. L312-5 et L312-7 du Code de la Consommation. 23 â Assurance-vie, bons de capitalisation, opĂ©rations de prĂ©voyance â 30 jours Ă compter du 1er versement ; â LRAR lettre type jointe Ă la proposition art. L132-5 du Code des Assurances et D731-2 du Code de la SĂ©curitĂ© Sociale. 24 â Enseignement privĂ© Ă distance, cours par correspondance â 7 jours Ă compter de la rĂ©ception du projet de contrat qui ne peut ĂȘtre signĂ© quâau terme de ce dĂ©lai loi du 12/07/1971. 25 â Vente Ă distance â 7 jours francs Ă compter de la livraison de la commande ; â les frais de retour sont Ă la charge de lâacheteur art. L121-16 du Code de la Consommation. 26 â Agence matrimoniale â 7 jours aprĂšs la signature du contrat par LRAR. Attention les clubs de rencontres ne sont pas concernĂ©s par cette protection loi du 23 juin 1989 et dĂ©cret du 16 mai 1990. 27 â Acquisition dâun bien immobilier neuf et ancien â 7 jours Ă compter du lendemain de la premiĂšre prĂ©sentation de la lettre lui notifiant lâacte L 271-1 du code de la construction et de lâhabitation. 29 â DĂ©marchage Ă domicile ou par tĂ©lĂ©phone âą Ă domicile avec certaines exceptions ou sur le lieu de travail, mĂȘme si le dĂ©marcheur est venu Ă la demande du consommateur ; â dans les lieux non destinĂ©s Ă la commercialisation ; â au cours de rĂ©unions ou dâexcursions organisĂ©es par un commerçant Ă son profit. Attention est, en principe, soumise Ă la loi sur le dĂ©marchage, lâopĂ©ration consistant Ă inviter une personne par tĂ©lĂ©phone Ă retirer un lot en magasin dĂšs lors que, venu au magasin, le client sâest vu proposer des objets. Lâapplication de cette loi restant Ă lâapprĂ©ciation du juge. â 7 jours aprĂšs signature du contrat, par LRAR ou en utilisant le formulaire dĂ©tachable art. L121-24 Ă L121-26 du Code de la consommation. âą par tĂ©lĂ©phone â 7 jours Ă compter de la livraison du produit. â Par retour du produit, frais Ă la charge de lâacheteur. â A la suite dâun dĂ©marchage par tĂ©lĂ©phone, le professionnel doit confirmer son offre par Ă©crit. Le consommateur nâest engagĂ© que sâil retourne lâoffre signĂ©e art. L121-27 du Code de la consommation. 3 â CAUSES DE NULLITE Pour quâun contrat soit valable, il faut que quatre conditions soient remplies art. 1108 du Code civil 31 â Le consentement de la partie qui sâoblige âIl nây a pas de consentement valable si le consentement nâa Ă©tĂ© donnĂ© que par erreur, ou sâil a Ă©tĂ© extorquĂ© par violence ou surpris par dolâ. art. 1109 du Code civil. âą Lâerreur pour quâun contrat puisse ĂȘtre annulĂ© pour erreur, il faut que la qualitĂ© substantielle essentielle de la chose soit concernĂ©e. âą La violence La violence est dĂ©finie comme une action de nature Ă âfaire impression sur une personne raisonnable et lui inspirer la crainte dâexposer sa personne ou sa fortune Ă un mal considĂ©rable et prĂ©sentâ art. 1112 du Code civil. Peuvent ĂȘtre apparentĂ©s Ă cette notion de violence, deux autres cas dâannulation â lâabus de dĂ©pendance Ă©conomique concerne essentiellement les contrats Ă©tablis entre deux parties dont lâune dĂ©pend Ă©conomiquement de lâautre surtout dans les relations employeur/employĂ©. â lâabus de faiblesse une protection particuliĂšre est apportĂ©e aux personnes qui ne sont pas en mesure, lors de la souscription dâun engagement, dâen apprĂ©cier la portĂ©e ou de dĂ©celer les ruses ou artifices dĂ©ployĂ©s pour les convaincre art. L122-8 du Code de la consommation et loi N°92-60 du 18/01/1992. âą Le dol âLe dol est une cause de nullitĂ© du contrat lorsque les manĆuvres pratiquĂ©es par lâune des parties sont telles, quâil est Ă©vident que, sans ces manĆuvres, lâautre partie nâaurait pas contractĂ©. Le dol ne se prĂ©sume pas, et doit ĂȘtre prouvĂ©â Art. 1116 du Code civil. Cette obligation de preuve rend souvent difficile le recours Ă ce motif dâannulation. 32 â Sa capacitĂ© Ă contracter âToute personne peut contracter si elle nâen a pas Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e incapable* par la loiâ art. 1123 du Code civil. âSont dĂ©clarĂ©s incapables de contracter, les mineurs non Ă©mancipĂ©s et les majeurs protĂ©gĂ©sâ art. 1124 du Code civil. * Faisant lâobjet dâun systĂšme de protection sauvegarde de justice, tutelle ou curatelle 33 â Un objet certain qui forme la nature de lâengagement La nature du produit ou de la prestation doit ĂȘtre clairement dĂ©finie elle doit ĂȘtre dĂ©terminĂ©e ou dĂ©terminable. Elle doit ĂȘtre susceptible de transaction ; elle peut exister ou ĂȘtre future. Dans le but de remplir cette condition, un certain nombre de mentions obligatoires sont dĂ©finies selon les types de contrats. 34 â Une cause licite Pour ĂȘtre valable, un contrat ne doit pas aller Ă lâencontre de la loi. Des contrats portant, par exemple, sur des ventes de produits contraires Ă lâordre public ou aux bonnes mĆurs, ne seraient pas valables. Si lâune des quatre conditions de validitĂ© du contrat nâest pas remplie, celui-ci peut ĂȘtre annulĂ©. Mais seul un juge peut prononcer lâannulation dâun contrat. 4 â DATE DE LIVRAISON NON RESPECTEE Pour tout contrat concernant la vente dâun bien meuble dâun prix supĂ©rieur Ă 500 ⏠et dont la livraison nâest pas immĂ©diate, le professionnel est obligĂ© dâindiquer la date limite Ă laquelle il sâengage Ă livrer le bien. Lorsque ce dĂ©lai est dĂ©passĂ© de 7 jours, hors cas de force majeure, le consommateur peut, dans un dĂ©lai de 60 jours ouvrĂ©s » Ă compter de cette date », dĂ©noncer le contrat par LRAR si la livraison nâest pas intervenue entre temps art. L114-1 du Code de la consommation. En cas de refus, il faut engager une procĂ©dure judiciaire, la dĂ©cision du tribunal restant âsouveraineâ. 5 â CLAUSES ABUSIVES ARTICLE L 132-1 DU CODE DE LA CONSOMMATION Dans les contrats conclus entre professionnels et consommateurs, sont abusives les clauses qui ont pour objet ou pour effet de crĂ©er au dĂ©triment du consommateur un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et les obligations des parties au contrat. Il existe une liste non exhaustive de ce qui peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme clauses abusives. Le contrat restera applicable dans toutes ses dispositions autres que celles jugĂ©es abusives si cela est possible. Dans certains cas, la rĂ©solution du contrat pourra ĂȘtre prononcĂ©e. Nota. Clause obscure Sans ĂȘtre abusive, une clause dâun contrat peut volontairement ou involontairement ne pas ĂȘtre trĂšs claire et conduire Ă diffĂ©rentes interprĂ©tations. Dans ce cas, elle doit sâinterprĂ©ter, en cas de doute, dans le sens de la logique interne du contrat puis dans le sens le plus favorable au consommateur art. L133-2 du Code de la consommation. A garder en mĂ©moire, notamment en ce qui concerne lâexĂ©cution des contrats dâassurance.
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ArticleL121-1 Entrée en vigueur 2016-07-01 Les pratiques commerciales déloyales sont interdites.
Masquer les articles et les sections abrogĂ©sL'AssemblĂ©e nationale et le SĂ©nat ont dĂ©libĂ©rĂ©,L'AssemblĂ©e nationale a adoptĂ©,Vu la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016,Le PrĂ©sident de la RĂ©publique promulgue la loi dont la teneur suit Titre IER DE LA LUTTE CONTRE LES MANQUEMENTS Ă LA PROBITĂ Articles 1 Ă 24Chapitre Ier De l'Agence française anticorruption Articles 1 Ă 5L'Agence française anticorruption est un service Ă compĂ©tence nationale, placĂ© auprĂšs du ministre de la justice et du ministre chargĂ© du budget, ayant pour mission d'aider les autoritĂ©s compĂ©tentes et les personnes qui y sont confrontĂ©es Ă prĂ©venir et Ă dĂ©tecter les faits de corruption, de trafic d'influence, de concussion, de prise illĂ©gale d'intĂ©rĂȘt, de dĂ©tournement de fonds publics et de française anticorruption est dirigĂ©e par un magistrat hors hiĂ©rarchie de l'ordre judiciaire nommĂ© par dĂ©cret du PrĂ©sident de la RĂ©publique pour une durĂ©e de six ans non renouvelable. Il ne peut ĂȘtre mis fin Ă ses fonctions que sur sa demande ou en cas d'empĂȘchement ou en cas de manquement grave. Le magistrat qui dirige l'agence ne reçoit ni ne sollicite d'instruction d'aucune autoritĂ© administrative ou gouvernementale dans l'exercice des missions mentionnĂ©es aux 3° et 4° de l'article 3. Il ne peut ĂȘtre membre de la commission des sanctions ni assister Ă ses sĂ©ances. L'agence comprend une commission des sanctions chargĂ©e de prononcer les sanctions mentionnĂ©es au IV de l'article 17. La commission des sanctions est composĂ©e de six membres 1° Deux membres du Conseil d'Etat dĂ©signĂ©s par le vice-prĂ©sident du Conseil d'Etat ; 2° Deux membres de la Cour de cassation dĂ©signĂ©s par le premier prĂ©sident de la Cour de cassation ; 3° Deux magistrats de la Cour des comptes dĂ©signĂ©s par le premier prĂ©sident de la Cour des comptes. Les membres de la commission sont nommĂ©s par dĂ©cret pour un mandat de cinq ans. Le prĂ©sident de la commission est dĂ©signĂ© parmi ses membres, selon les mĂȘmes modalitĂ©s. Des supplĂ©ants sont nommĂ©s selon les mĂȘmes modalitĂ©s. En cas de partage Ă©gal des voix, le prĂ©sident de la commission a voix prĂ©pondĂ©rante. Le magistrat qui dirige l'agence et les membres de la commission des sanctions sont tenus au secret professionnel. Un dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©cise les conditions de fonctionnement de l'agence ainsi que les modalitĂ©s de dĂ©signation des membres de la commission des sanctions, de maniĂšre Ă assurer une reprĂ©sentation Ă©quilibrĂ©e entre les femmes et les hommes pour chacune des catĂ©gories Ă©numĂ©rĂ©es aux 1° Ă 3°.ConformĂ©ment au A du XXIV de lâarticle 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur Ă compter du prochain renouvellement de chaque française anticorruption 1° Participe Ă la coordination administrative, centralise et diffuse les informations permettant d'aider Ă prĂ©venir et Ă dĂ©tecter les faits de corruption, de trafic d'influence, de concussion, de prise illĂ©gale d'intĂ©rĂȘt, de dĂ©tournement de fonds publics et de favoritisme. Dans ce cadre, elle apporte son appui aux administrations de l'Etat, aux collectivitĂ©s territoriales et Ă toute personne physique ou morale ; 2° Elabore des recommandations destinĂ©es Ă aider les personnes morales de droit public et de droit privĂ© Ă prĂ©venir et Ă dĂ©tecter les faits de corruption, de trafic d'influence, de concussion, de prise illĂ©gale d'intĂ©rĂȘt, de dĂ©tournement de fonds publics et de favoritisme. Ces recommandations sont adaptĂ©es Ă la taille des entitĂ©s concernĂ©es et Ă la nature des risques identifiĂ©s. Elles sont rĂ©guliĂšrement mises Ă jour pour prendre en compte l'Ă©volution des pratiques et font l'objet d'un avis publiĂ© au Journal officiel ; 3° ContrĂŽle, de sa propre initiative, la qualitĂ© et l'efficacitĂ© des procĂ©dures mises en Ćuvre au sein des administrations de l'Etat, des collectivitĂ©s territoriales, de leurs Ă©tablissements publics, des sociĂ©tĂ©s d'Ă©conomie mixte et des sociĂ©tĂ©s relevant du titre II du livre V de la premiĂšre partie du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales, et des associations et fondations reconnues d'utilitĂ© publique pour prĂ©venir et dĂ©tecter les faits de corruption, de trafic d'influence, de concussion, de prise illĂ©gale d'intĂ©rĂȘt, de dĂ©tournement de fonds publics et de favoritisme. Elle contrĂŽle Ă©galement le respect des mesures mentionnĂ©es au II de l'article 17 de la prĂ©sente loi. Ces contrĂŽles peuvent Ă©galement ĂȘtre effectuĂ©s Ă la demande du prĂ©sident de la Haute AutoritĂ© pour la transparence de la vie publique, du Premier ministre, des ministres ou, pour les collectivitĂ©s territoriales et leurs Ă©tablissements publics et sociĂ©tĂ©s relevant du titre II du livre V de la premiĂšre partie du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales, du reprĂ©sentant de l'Etat. Ils peuvent faire suite Ă un signalement transmis Ă l'agence par une association agréée dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 2-23 du code de procĂ©dure pĂ©nale. Ces contrĂŽles donnent lieu Ă l'Ă©tablissement de rapports transmis aux autoritĂ©s qui en sont Ă l'initiative ainsi qu'aux reprĂ©sentants de l'entitĂ© contrĂŽlĂ©e. Ils contiennent les observations de l'agence concernant la qualitĂ© du dispositif de prĂ©vention et de dĂ©tection de la corruption mis en place au sein des entitĂ©s contrĂŽlĂ©es ainsi que des recommandations en vue de l'amĂ©lioration des procĂ©dures existantes ; 4° Exerce les attributions prĂ©vues Ă l'article 17 de la prĂ©sente loi, Ă l'article 131-39-2 du code pĂ©nal et aux articles 41-1-2 et 764-44 du code de procĂ©dure pĂ©nale ; 5° Veille, Ă la demande du Premier ministre, au respect de la loi n° 68-678 du 26 juillet 1968 relative Ă la communication de documents et renseignements d'ordre Ă©conomique, commercial, industriel, financier ou technique Ă des personnes physiques ou morales Ă©trangĂšres, dans le cadre de l'exĂ©cution des dĂ©cisions d'autoritĂ©s Ă©trangĂšres imposant Ă une sociĂ©tĂ© dont le siĂšge est situĂ© sur le territoire français une obligation de se soumettre Ă une procĂ©dure de mise en conformitĂ© de ses procĂ©dures internes de prĂ©vention et de dĂ©tection de la corruption ; 6° Avise le procureur de la RĂ©publique compĂ©tent en application de l'article 43 du code de procĂ©dure pĂ©nale des faits dont elle a eu connaissance dans l'exercice de ses missions et qui sont susceptibles de constituer un crime ou un dĂ©lit. Lorsque ces faits sont susceptibles de relever de la compĂ©tence du procureur de la RĂ©publique financier en application des 1° Ă 8° de l'article 705 ou de l'article 705-1 du mĂȘme code, l'Agence française anticorruption en avise simultanĂ©ment ce dernier ; 7° Elabore chaque annĂ©e un rapport d'activitĂ© rendu public. Un dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©cise les conditions d'application du prĂ©sent le cadre de ses missions dĂ©finies aux 3° et 4° de l'article 3, les agents de l'Agence française anticorruption peuvent ĂȘtre habilitĂ©s, par dĂ©cret en Conseil d'Etat, Ă se faire communiquer par les reprĂ©sentants de l'entitĂ© contrĂŽlĂ©e tout document professionnel, quel qu'en soit le support, ou toute information utile. Le cas Ă©chĂ©ant, ils peuvent en faire une peuvent procĂ©der sur place Ă toute vĂ©rification de l'exactitude des informations fournies. Ils peuvent s'entretenir, dans des conditions assurant la confidentialitĂ© de leurs Ă©changes, avec toute personne dont le concours leur paraĂźt agents habilitĂ©s, les experts et les personnes ou autoritĂ©s qualifiĂ©es auxquels ils ont recours et, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, toute personne qui concourt Ă l'accomplissement des missions mentionnĂ©es Ă l'article 3 sont astreints au secret professionnel pour les faits, actes ou renseignements dont ils ont connaissance en raison de leurs fonctions, sous rĂ©serve des Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires Ă l'Ă©tablissement de leurs ne peut procĂ©der aux contrĂŽles relatifs Ă une entitĂ© Ă©conomique ou publique Ă l'Ă©gard de laquelle il dĂ©tient ou a dĂ©tenu un intĂ©rĂȘt direct ou puni de 30 000 ⏠d'amende le fait de prendre toute mesure destinĂ©e Ă faire Ă©chec Ă l'exercice des fonctions dont les agents habilitĂ©s mentionnĂ©s au prĂ©sent article sont dĂ©cret en Conseil d'Etat dĂ©termine les conditions dans lesquelles sont recrutĂ©s les experts et les personnes ou autoritĂ©s qualifiĂ©es auxquels il est recouru ainsi que les rĂšgles dĂ©ontologiques qui leur sont compter de l'entrĂ©e en vigueur du dĂ©cret de nomination du directeur de l'Agence française anticorruption mentionnĂ© Ă l'article 2 de la prĂ©sente loi, les articles 1er Ă 6 de la loi n° 93-122 du 29 janvier 1993 relative Ă la prĂ©vention de la corruption et Ă la transparence de la vie Ă©conomique et des procĂ©dures publiques sont et III. A abrogĂ© les dispositions suivantes - Code de procĂ©dure pĂ©nale Art. 40-6A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code monĂ©taire et financier Art. L561-29A abrogĂ© les dispositions suivantes - LOI n° 93-122 du 29 janvier 1993 Art. 1, Art. 2, Art. 3, Art. 4, Art. 5, Art. 6Chapitre II De la protection des lanceurs d'alerte Articles 6 Ă 16Un lanceur d'alerte est une personne physique qui rĂ©vĂšle ou signale, de maniĂšre dĂ©sintĂ©ressĂ©e et de bonne foi, un crime ou un dĂ©lit, une violation grave et manifeste d'un engagement international rĂ©guliĂšrement ratifiĂ© ou approuvĂ© par la France, d'un acte unilatĂ©ral d'une organisation internationale pris sur le fondement d'un tel engagement, de la loi ou du rĂšglement, ou une menace ou un prĂ©judice graves pour l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, dont elle a eu personnellement faits, informations ou documents, quel que soit leur forme ou leur support, couverts par le secret de la dĂ©fense nationale, le secret mĂ©dical ou le secret des relations entre un avocat et son client sont exclus du rĂ©gime de l'alerte dĂ©fini par le prĂ©sent - Le signalement d'une alerte est portĂ© Ă la connaissance du supĂ©rieur hiĂ©rarchique, direct ou indirect, de l'employeur ou d'un rĂ©fĂ©rent dĂ©signĂ© par l'absence de diligences de la personne destinataire de l'alerte mentionnĂ©e au premier alinĂ©a du prĂ©sent I Ă vĂ©rifier, dans un dĂ©lai raisonnable, la recevabilitĂ© du signalement, celui-ci est adressĂ© Ă l'autoritĂ© judiciaire, Ă l'autoritĂ© administrative ou aux ordres dernier ressort, Ă dĂ©faut de traitement par l'un des organismes mentionnĂ©s au deuxiĂšme alinĂ©a du prĂ©sent I dans un dĂ©lai de trois mois, le signalement peut ĂȘtre rendu - En cas de danger grave et imminent ou en prĂ©sence d'un risque de dommages irrĂ©versibles, le signalement peut ĂȘtre portĂ© directement Ă la connaissance des organismes mentionnĂ©s au deuxiĂšme alinĂ©a du I. Il peut ĂȘtre rendu - Des procĂ©dures appropriĂ©es de recueil des signalements Ă©mis par les membres de leur personnel ou par des collaborateurs extĂ©rieurs et occasionnels sont Ă©tablies par les personnes morales de droit public ou de droit privĂ© d'au moins cinquante salariĂ©s, les administrations de l'Etat, les communes de plus de 10 000 habitants ainsi que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale Ă fiscalitĂ© propre dont elles sont membres, les dĂ©partements et les rĂ©gions, dans des conditions fixĂ©es par dĂ©cret en Conseil d' - Toute personne peut adresser son signalement au DĂ©fenseur des droits afin d'ĂȘtre orientĂ©e vers l'organisme appropriĂ© de recueil de l' - Les procĂ©dures mises en Ćuvre pour recueillir les signalements, dans les conditions mentionnĂ©es Ă l'article 8, garantissent une stricte confidentialitĂ© de l'identitĂ© des auteurs du signalement, des personnes visĂ©es par celui-ci et des informations recueillies par l'ensemble des destinataires du Ă©lĂ©ments de nature Ă identifier le lanceur d'alerte ne peuvent ĂȘtre divulguĂ©s, sauf Ă l'autoritĂ© judiciaire, qu'avec le consentement de Ă©lĂ©ments de nature Ă identifier la personne mise en cause par un signalement ne peuvent ĂȘtre divulguĂ©s, sauf Ă l'autoritĂ© judiciaire, qu'une fois Ă©tabli le caractĂšre fondĂ© de l' - Le fait de divulguer les Ă©lĂ©ments confidentiels dĂ©finis au I est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 ⏠d' cas de rupture du contrat de travail consĂ©cutive au signalement d'une alerte au sens de l'article 6, le salariĂ© peut saisir le conseil des prud'hommes dans les conditions prĂ©vues au chapitre V du titre V du livre IV de la premiĂšre partie du code du personne qui fait obstacle, de quelque façon que ce soit, Ă la transmission d'un signalement aux personnes et organismes mentionnĂ©s aux deux premiers alinĂ©as du I de l'article 8 est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 ⏠d'amende. le juge d'instruction ou la chambre de l'instruction est saisi d'une plainte pour diffamation contre un lanceur d'alerte, le montant de l'amende civile qui peut ĂȘtre prononcĂ©e dans les conditions prĂ©vues aux articles 177-2 et 212-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale est portĂ© Ă 30 000 âŹ.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]I Ă V. - A abrogĂ© les dispositions suivantes - LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 Art. 25A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code de la dĂ©fense. Art. L4122-4A abrogĂ© les dispositions suivantes - Code de la santĂ© publique Art. L1351-1, Art. L5312-4-2A abrogĂ© les dispositions suivantes - Code du travail Art. L1161-1, Art. L4133-5A modifiĂ© les dispositions suivantes - LOI n°2013-316 du 16 avril 2013 Art. 1, Art. 2, Art. 12VI. - [Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Chapitre III Autres mesures de lutte contre la corruption et divers manquements Ă la probitĂ© Articles 17 Ă 24I. - Les prĂ©sidents, les directeurs gĂ©nĂ©raux et les gĂ©rants d'une sociĂ©tĂ© employant au moins cinq cents salariĂ©s, ou appartenant Ă un groupe de sociĂ©tĂ©s dont la sociĂ©tĂ© mĂšre a son siĂšge social en France et dont l'effectif comprend au moins cinq cents salariĂ©s, et dont le chiffre d'affaires ou le chiffre d'affaires consolidĂ© est supĂ©rieur Ă 100 millions d'euros sont tenus de prendre les mesures destinĂ©es Ă prĂ©venir et Ă dĂ©tecter la commission, en France ou Ă l'Ă©tranger, de faits de corruption ou de trafic d'influence selon les modalitĂ©s prĂ©vues au obligation s'impose Ă©galement 1° Aux prĂ©sidents et directeurs gĂ©nĂ©raux d'Ă©tablissements publics Ă caractĂšre industriel et commercial employant au moins cinq cents salariĂ©s, ou appartenant Ă un groupe public dont l'effectif comprend au moins cinq cents salariĂ©s, et dont le chiffre d'affaires ou le chiffre d'affaires consolidĂ© est supĂ©rieur Ă 100 millions d'euros ;2° Selon les attributions qu'ils exercent, aux membres du directoire des sociĂ©tĂ©s anonymes rĂ©gies par l'article L. 225-57 du code de commerce et employant au moins cinq cents salariĂ©s, ou appartenant Ă un groupe de sociĂ©tĂ©s dont l'effectif comprend au moins cinq cents salariĂ©s, et dont le chiffre d'affaires ou le chiffre d'affaires consolidĂ© est supĂ©rieur Ă 100 millions d' la sociĂ©tĂ© Ă©tablit des comptes consolidĂ©s, les obligations dĂ©finies au prĂ©sent article portent sur la sociĂ©tĂ© elle-mĂȘme ainsi que sur l'ensemble de ses filiales, au sens de l'article L. 233-1 du code de commerce, ou des sociĂ©tĂ©s qu'elle contrĂŽle, au sens de l'article L. 233-3 du mĂȘme code. Les filiales ou sociĂ©tĂ©s contrĂŽlĂ©es qui dĂ©passent les seuils mentionnĂ©s au prĂ©sent I sont rĂ©putĂ©es satisfaire aux obligations prĂ©vues au prĂ©sent article dĂšs lors que la sociĂ©tĂ© qui les contrĂŽle, au sens du mĂȘme article L. 233-3, met en Ćuvre les mesures et procĂ©dures prĂ©vues au II du prĂ©sent article et que ces mesures et procĂ©dures s'appliquent Ă l'ensemble des filiales ou sociĂ©tĂ©s qu'elle - Les personnes mentionnĂ©es au I mettent en Ćuvre les mesures et procĂ©dures suivantes 1° Un code de conduite dĂ©finissant et illustrant les diffĂ©rents types de comportements Ă proscrire comme Ă©tant susceptibles de caractĂ©riser des faits de corruption ou de trafic d'influence. Ce code de conduite est intĂ©grĂ© au rĂšglement intĂ©rieur de l'entreprise et fait l'objet, Ă ce titre, de la procĂ©dure de consultation des reprĂ©sentants du personnel prĂ©vue Ă l'article L. 1321-4 du code du travail ;2° Un dispositif d'alerte interne destinĂ© Ă permettre le recueil des signalements Ă©manant d'employĂ©s et relatifs Ă l'existence de conduites ou de situations contraires au code de conduite de la sociĂ©tĂ© ;3° Une cartographie des risques prenant la forme d'une documentation rĂ©guliĂšrement actualisĂ©e et destinĂ©e Ă identifier, analyser et hiĂ©rarchiser les risques d'exposition de la sociĂ©tĂ© Ă des sollicitations externes aux fins de corruption, en fonction notamment des secteurs d'activitĂ©s et des zones gĂ©ographiques dans lesquels la sociĂ©tĂ© exerce son activitĂ© ;4° Des procĂ©dures d'Ă©valuation de la situation des clients, fournisseurs de premier rang et intermĂ©diaires au regard de la cartographie des risques ;5° Des procĂ©dures de contrĂŽles comptables, internes ou externes, destinĂ©es Ă s'assurer que les livres, registres et comptes ne sont pas utilisĂ©s pour masquer des faits de corruption ou de trafic d'influence. Ces contrĂŽles peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©s soit par les services de contrĂŽle comptable et financier propres Ă la sociĂ©tĂ©, soit en ayant recours Ă un auditeur externe Ă l'occasion de l'accomplissement des audits de certification de comptes prĂ©vus Ă l'article L. 823-9 du code de commerce ;6° Un dispositif de formation destinĂ© aux cadres et aux personnels les plus exposĂ©s aux risques de corruption et de trafic d'influence ;7° Un rĂ©gime disciplinaire permettant de sanctionner les salariĂ©s de la sociĂ©tĂ© en cas de violation du code de conduite de la sociĂ©tĂ© ;8° Un dispositif de contrĂŽle et d'Ă©valuation interne des mesures mises en de la responsabilitĂ© des personnes mentionnĂ©es au I du prĂ©sent article, la sociĂ©tĂ© est Ă©galement responsable en tant que personne morale en cas de manquement aux obligations prĂ©vues au prĂ©sent - L'Agence française anticorruption contrĂŽle le respect des mesures et procĂ©dures mentionnĂ©es au II du prĂ©sent contrĂŽle est rĂ©alisĂ© selon les modalitĂ©s prĂ©vues Ă l'article 4. Il donne lieu Ă l'Ă©tablissement d'un rapport transmis Ă l'autoritĂ© qui a demandĂ© le contrĂŽle et aux reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© contrĂŽlĂ©e. Le rapport contient les observations de l'agence sur la qualitĂ© du dispositif de prĂ©vention et de dĂ©tection de la corruption mis en place au sein de la sociĂ©tĂ© contrĂŽlĂ©e ainsi que, le cas Ă©chĂ©ant, des recommandations en vue de l'amĂ©lioration des procĂ©dures - En cas de manquement constatĂ©, et aprĂšs avoir mis la personne concernĂ©e en mesure de prĂ©senter ses observations, le magistrat qui dirige l'agence peut adresser un avertissement aux reprĂ©sentants de la peut saisir la commission des sanctions afin que soit enjoint Ă la sociĂ©tĂ© et Ă ses reprĂ©sentants d'adapter les procĂ©dures de conformitĂ© internes destinĂ©es Ă la prĂ©vention et Ă la dĂ©tection des faits de corruption ou de trafic d' peut Ă©galement saisir la commission des sanctions afin que soit infligĂ©e une sanction pĂ©cuniaire. Dans ce cas, il notifie les griefs Ă la personne physique mise en cause et, s'agissant d'une personne morale, Ă son reprĂ©sentant - La commission des sanctions peut enjoindre Ă la sociĂ©tĂ© et Ă ses reprĂ©sentants d'adapter les procĂ©dures de conformitĂ© internes Ă la sociĂ©tĂ© destinĂ©es Ă la prĂ©vention et Ă la dĂ©tection des faits de corruption ou de trafic d'influence, selon les recommandations qu'elle leur adresse Ă cette fin, dans un dĂ©lai qu'elle fixe et qui ne peut excĂ©der trois commission des sanctions peut prononcer une sanction pĂ©cuniaire dont le montant ne peut excĂ©der 200 000 ⏠pour les personnes physiques et un million d'euros pour les personnes montant de la sanction pĂ©cuniaire prononcĂ©e est proportionnĂ© Ă la gravitĂ© des manquements constatĂ©s et Ă la situation financiĂšre de la personne physique ou morale commission des sanctions peut ordonner la publication, la diffusion ou l'affichage de la dĂ©cision d'injonction ou de sanction pĂ©cuniaire ou d'un extrait de celle-ci, selon les modalitĂ©s qu'elle prĂ©cise. Les frais sont supportĂ©s par la personne physique ou morale commission des sanctions statue par dĂ©cision motivĂ©e. Aucune sanction ni injonction ne peut ĂȘtre prononcĂ©e sans que la personne concernĂ©e ou son reprĂ©sentant ait Ă©tĂ© entendu ou, Ă dĂ©faut, dĂ»ment sanctions pĂ©cuniaires sont versĂ©es au TrĂ©sor public et recouvrĂ©es comme crĂ©ances de l'Etat Ă©trangĂšres Ă l'impĂŽt et au dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©cise les conditions de fonctionnement de la commission, notamment les conditions de rĂ©cusation de ses - L'action de l'Agence française anticorruption se prescrit par trois annĂ©es rĂ©volues Ă compter du jour oĂč le manquement a Ă©tĂ© constatĂ© si, dans ce dĂ©lai, il n'a Ă©tĂ© fait aucun acte tendant Ă la sanction de ce - Les recours formĂ©s contre les dĂ©cisions de la commission des sanctions sont des recours de pleine - Le prĂ©sent article entre en vigueur le premier jour du sixiĂšme mois suivant la promulgation de la prĂ©sente loi.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Titre II DE LA TRANSPARENCE DES RAPPORTS ENTRE LES REPRĂSENTANTS D'INTĂRĂTS ET LES POUVOIRS PUBLICS Articles 25 Ă 33I. Ă créé les dispositions suivantes -LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 Sct. Section 3 bis De la transparence des rapports entre les reprĂ©sentants d'intĂ©rĂȘts et les pouvoirs publics , Art. 18-1 , Art. 18-2 , Art. 18-3 , Sct. Sous-section 1 DĂ©termination et mise en Ćuvre des rĂšgles applicables aux assemblĂ©es parlementaires , Art. 18-4 , Sct. Sous-section 2 RĂšgles applicables aux autoritĂ©s gouvernementales et administratives et aux collectivitĂ©s locales , Art. 18-5 , Art. 18-6 , Art. 18-7 , Art. 18-8 , Sct. Sous-section 3 Sanctions pĂ©nales , Art. 18-9 , Art. 18-10 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 Art. 4 quinquies -LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 Art. 20 en vigueur 1° Le premier jour du sixiĂšme mois suivant la publication du dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©vu Ă l'article 18-8 de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative Ă la transparence de la vie publique et, au plus tard, le 1er juillet 2017, les articles 18-1 Ă 18-3, la sous-section 2 et la sous-section 3 [Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.] de la section 3 bis de la mĂȘme loi, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant du prĂ©sent article, et le III du prĂ©sent article ;2° Le 1er juillet 2017, la sous-section 1 de la section 3 bis de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013 prĂ©citĂ©e dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du prĂ©sent article, ainsi que le II du prĂ©sent article ;[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Par dĂ©rogation au 1° du prĂ©sent IV a L'article 18-7, l'article 18-9 et le premier alinĂ©a de l'article 18-10 de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013 prĂ©citĂ©e entrent en vigueur le premier jour du sixiĂšme mois suivant la date d'entrĂ©e en vigueur prĂ©vue au 1° du prĂ©sent IV ;b Les articles 18-2 et 18-3, la sous-section 2 et la sous-section 3 [Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.] de la section 3 bis de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013 prĂ©citĂ©e, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant du prĂ©sent article ne sont applicables aux reprĂ©sentants d'intĂ©rĂȘts entrant en communication avec les personnes mentionnĂ©es aux 6° et 7° de l'article 18-2 de la mĂȘme loi qu'Ă compter du 1er juillet - A modifiĂ© les dispositions suivantes - LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 Art. I entre en vigueur le premier jour du sixiĂšme mois suivant la publication du dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©vu Ă l'article 18-8 de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013 prĂ©citĂ©e, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant de l'article 25 de la prĂ©sente loi. [Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]I. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 Art. 1, Art. 2, Art. 8, Art. 11II. - Chacun des directeurs gĂ©nĂ©raux, des secrĂ©taires gĂ©nĂ©raux et de leurs adjoints des organismes mentionnĂ©s au 6° du I de l'article 11 de la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013 prĂ©citĂ©e, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant de la prĂ©sente loi, adresse Ă la Haute AutoritĂ© une dĂ©claration de situation patrimoniale et une dĂ©claration d'intĂ©rĂȘts, suivant les modalitĂ©s prĂ©vues au mĂȘme article 11, au plus tard le 1er janvier 2017.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Titre III DE LA MODERNISATION DES RĂGLES DE LA DOMANIALITĂ ET DE LA COMMANDE PUBLIQUES Articles 34 Ă 41Dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de douze mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, toute mesure relevant du domaine de la loi tendant Ă moderniser et simplifier, pour l'Etat et ses Ă©tablissements publics 1° Les rĂšgles d'occupation et de sous-occupation du domaine public, en vue notamment de prĂ©voir des obligations de publicitĂ© et de mise en concurrence prĂ©alable applicables Ă certaines autorisations d'occupation et de prĂ©ciser l'Ă©tendue des droits et obligations des bĂ©nĂ©ficiaires de ces autorisations ;2° Les rĂšgles rĂ©gissant les transferts de propriĂ©tĂ© rĂ©alisĂ©s par les personnes publiques, en vue notamment de prĂ©voir des obligations de publicitĂ© et de mise en concurrence prĂ©alables aux opĂ©rations de cession et de faciliter et sĂ©curiser leurs opĂ©rations dispositions prises en application du 2° peuvent ouvrir aux autoritĂ©s compĂ©tentes la possibilitĂ© de prendre des mesures, y compris de portĂ©e rĂ©troactive, tendant Ă la rĂ©gularisation de leurs actes de dispositions prises en application des 1° et 2° et du quatriĂšme alinĂ©a peuvent, le cas Ă©chĂ©ant, s'appliquer ou ĂȘtre adaptĂ©es aux collectivitĂ©s territoriales, Ă leurs groupements ainsi qu'Ă leurs Ă©tablissements projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l'ordonnance.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă procĂ©der par voie d'ordonnance, dans un dĂ©lai de vingt-quatre mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, Ă l'adoption de la partie lĂ©gislative du code de la commande publique. Ce code regroupe et organise les rĂšgles relatives aux diffĂ©rents contrats de la commande publique qui s'analysent, au sens du droit de l'Union europĂ©enne, comme des marchĂ©s publics et des contrats de concession. Les rĂšgles codifiĂ©es sont celles en vigueur Ă la date de publication de l'ordonnance ainsi que, le cas Ă©chĂ©ant, les dispositions dĂ©jĂ publiĂ©es mais non encore entrĂ©es en vigueur Ă cette Gouvernement est autorisĂ© Ă apporter aux rĂšgles relatives Ă la commande publique les modifications nĂ©cessaires pour 1° Assurer le respect de la hiĂ©rarchie des normes et la cohĂ©rence rĂ©dactionnelle des textes ainsi rassemblĂ©s, harmoniser l'Ă©tat du droit, remĂ©dier aux Ă©ventuelles erreurs et abroger les dispositions devenues sans objet ;2° Rendre applicables, avec les adaptations nĂ©cessaires, les dispositions de nature lĂ©gislative ainsi codifiĂ©es en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française, Ă Wallis-et-Futuna et dans les Terres australes et antarctiques françaises, dans le respect des compĂ©tences dĂ©volues Ă ces collectivitĂ©s, ainsi qu'adapter, le cas Ă©chĂ©ant, les dispositions ainsi codifiĂ©es dans les autres collectivitĂ©s d'outre-mer rĂ©gies par l'article 74 de la Constitution et Ă projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l' - L'ordonnance n° 2015-899 du 23 juillet 2015 relative aux marchĂ©s publics est et III. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - ORDONNANCE n° 2015-899 du 23 juillet 2015 Art. 32, Sct. Section 1 Evaluation prĂ©alable du mode de rĂ©alisation du projet, Art. 40A modifiĂ© les dispositions suivantes - ORDONNANCE n° 2015-899 du 23 juillet 2015 Art. 45, Art. 52, Art. 53, Art. 59, Art. 69, Art. 74, Art. 89- Code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales Art. L1414-2, Art. L1414-3- ORDONNANCE n° 2015-899 du 23 juillet 2015 - Code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales IV. - Les II et III du prĂ©sent article sont applicables aux marchĂ©s publics pour lesquels une consultation est engagĂ©e ou un avis d'appel Ă la concurrence est envoyĂ© Ă la publication postĂ©rieurement Ă la publication de la prĂ©sente ne s'appliquent pas aux marchĂ©s passĂ©s sur le fondement d'un accord-cadre ou dans le cadre d'un systĂšme d'acquisition dynamique lorsque la procĂ©dure en vue de la passation de cet accord-cadre ou de la mise en place de ce systĂšme d'acquisition dynamique a Ă©tĂ© engagĂ©e avant cette n° 2016-65 du 29 janvier 2016 relative aux contrats de concession est IV DU RENFORCEMENT DE LA RĂGULATION FINANCIĂRE Articles 42 Ă 60I et A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code monĂ©taire et financier Art. L621-9, Art. II de l'article 6 de l'ordonnance n° 2016-520 du 28 avril 2016 relative aux bons de caisse est III. et modifiĂ© les dispositions suivantes -Code monĂ©taire et financier Art. L465-3-5, Art. L612-39, Art. L621-12, Art. L621-13-5, Art. L621-14, Art. L621-15, Art. L621-17, Art. L621-17-1-1, Art. L465-3 les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par voie d'ordonnance, avant le 3 juillet 2017, les mesures relevant du domaine de la loi 1° NĂ©cessaires Ă la transposition de la directive 2014/65/ UE du Parlement europĂ©en et du Conseil du 15 mai 2014 concernant les marchĂ©s d'instruments financiers et modifiant la directive 2002/92/ CE et la directive 2011/61/ UE, ainsi que les mesures d'adaptation et d'harmonisation liĂ©es Ă cette directive, notamment les mesures tendant Ă la protection des investisseurs par le renforcement de la transparence et de l'intĂ©gritĂ© des marchĂ©s financiers ; 2° ComplĂ©tant et adaptant les dispositions du code monĂ©taire et financier et, le cas Ă©chĂ©ant, d'autres codes et lois pour assurer leur mise en conformitĂ© avec celles du rĂšglement UE n° 600/2014 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 15 mai 2014 concernant les marchĂ©s d'instruments financiers et modifiant le rĂšglement UE n° 648/2012 ; 3° Permettant, d'une part, de rendre applicables en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et dans les Ăźles Wallis et Futuna, avec les adaptations nĂ©cessaires, les dispositions du rĂšglement UE n° 600/2014 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 15 mai 2014 prĂ©citĂ© et du rĂšglement UE n° 648/2012 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 4 juillet 2012 sur les produits dĂ©rivĂ©s de grĂ© Ă grĂ©, les contreparties centrales et les rĂ©fĂ©rentiels centraux ainsi que les dispositions du code monĂ©taire et financier et, le cas Ă©chĂ©ant, d'autres codes et lois relatives aux marchĂ©s d'instruments financiers, notamment celles rĂ©sultant des dispositions prises en application du 1° du I du prĂ©sent article, pour celles qui relĂšvent de la compĂ©tence de l'Etat et, d'autre part, de procĂ©der aux adaptations nĂ©cessaires de ces dispositions aux collectivitĂ©s de Saint-BarthĂ©lemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de cinq mois Ă compter de la publication de l'ordonnance. les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de dix-huit mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi propres Ă transposer la directive UE 2016/97 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 20 janvier 2016 sur la distribution d'assurances, en veillant notamment Ă dĂ©finir des rĂšgles de transparence appropriĂ©es et proportionnĂ©es aux spĂ©cificitĂ©s des divers acteurs du secteur. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de cinq mois Ă compter de la publication de l'ordonnance mentionnĂ©e au premier alinĂ©a du prĂ©sent Ă modifiĂ© les dispositions suivantes -Code des assurances Art. L421-9-1, Art. L423-2-Code monĂ©taire et financier Art. L612-33, Art. L612-33-2-Code de la mutualitĂ© Art. L431-2 Code de la sĂ©curitĂ© sociale Art. L951-2 les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de douze mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi 1° DĂ©signant l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution comme autoritĂ© de rĂ©solution pour le secteur des assurances et dĂ©terminant les rĂšgles de la gouvernance correspondante ; 2° Permettant Ă l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution a D'exiger, en tant que de besoin, des organismes et des groupes d'assurance soumis Ă son contrĂŽle l'Ă©tablissement de plans prĂ©ventifs de rĂ©tablissement et d'Ă©tablir elle-mĂȘme des plans prĂ©ventifs de rĂ©solution ; b D'enjoindre Ă ces organismes et groupes d'assurance de prendre des mesures destinĂ©es Ă supprimer les obstacles Ă leur rĂ©solution identifiĂ©s Ă partir des plans prĂ©ventifs de rĂ©tablissement et des plans prĂ©ventifs de rĂ©solution ; 3° DĂ©finissant les conditions d'entrĂ©e en rĂ©solution pour les organismes et groupes d'assurance et prĂ©cisant ses consĂ©quences juridiques, en veillant Ă la protection de la stabilitĂ© financiĂšre, des deniers publics, de la continuitĂ© des fonctions critiques des organismes et groupes d'assurance et des droits des souscripteurs et bĂ©nĂ©ficiaires des garanties ; 4° Permettant Ă l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution de dĂ©cider, dans le cadre de procĂ©dures de rĂ©solution d'organismes et de groupes d'assurance, de la mise en place d'un Ă©tablissement-relais ou d'une structure de gestion de passifs chargĂ©s de recevoir tout ou partie des engagements et des actifs des organismes et des groupes d'assurance soumis Ă cette procĂ©dure, dans des conditions permettant de garantir Ă ces derniers une juste et prĂ©alable indemnisation ; 5° Imposant que les modalitĂ©s de dĂ©termination de la rĂ©munĂ©ration des dirigeants effectifs d'organismes et de groupes d'assurance prĂ©voient les conditions dans lesquelles les Ă©lĂ©ments de rĂ©munĂ©ration variable, y compris les Ă©lĂ©ments de rĂ©munĂ©ration attribuĂ©s mais non versĂ©s, et les indemnitĂ©s ou avantages dus ou susceptibles d'ĂȘtre dus en raison de la cessation ou du changement de fonctions de ces personnes, peuvent ĂȘtre rĂ©duits ou annulĂ©s en cas de mise en Ćuvre de mesures de rĂ©solution ; 6° Adaptant aux situations de rĂ©solution les conditions dans lesquelles l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution est susceptible de recourir aux pouvoirs de police administrative prĂ©vus aux articles L. 612-33 et L. 612-34 du code monĂ©taire et financier. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l' les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, toute mesure relevant du domaine de la loi 1° ComplĂ©tant le rĂ©gime juridique des mutuelles et unions relevant du livre II du code de la mutualitĂ© pour leur permettre de moduler les cotisations en fonction de la date d'adhĂ©sion des agents aux dispositifs prĂ©vus Ă l'article 22 bis de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et Ă l'article 88-2 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă la fonction publique territoriale, dans le cadre de l'article L. 112-1 du code de la mutualitĂ© ; 2° ComplĂ©tant le rĂ©gime juridique des mutuelles et unions relevant du livre III du mĂȘme code en permettant a D'Ă©largir leur champ d'activitĂ© Ă des activitĂ©s sportives et de pompes funĂšbres ; b De modifier la composition des unions mentionnĂ©es Ă l'article L. 111-4-3 dudit code pour y inclure les sociĂ©tĂ©s commerciales mentionnĂ©es au 2° du II de l'article 1er de la loi n° 2014-856 du 31 juillet 2014 relative Ă l'Ă©conomie sociale et solidaire ; 3° Modernisant la gouvernance des mutuelles et unions relevant du code de la mutualitĂ© a En permettant aux statuts de prĂ©voir que des reprĂ©sentants des salariĂ©s de la mutuelle ou de l'union assistent avec voix dĂ©libĂ©rative aux sĂ©ances du conseil d'administration ; b En permettant que les statuts puissent donner compĂ©tence au conseil d'administration pour adopter le rĂšglement mutualiste et pour fixer les cotisations et les prestations, les orientations gĂ©nĂ©rales en matiĂšre de prestations et de cotisations pour les organismes relevant du livre II du code de la mutualitĂ© Ă©tant dans ce cas dĂ©finies par l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, et en clarifiant les rĂšgles de dĂ©lĂ©gation de pouvoirs de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale au conseil d'administration ; c En clarifiant les rĂšgles relatives Ă l'Ă©tablissement d'un rĂšglement ; d En permettant la crĂ©ation de collĂšges au sein de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale en fonction de critĂšres contribuant Ă une meilleure reprĂ©sentation des membres participants et des membres honoraires, notamment ceux relevant de contrats collectifs ; e En Ă©largissant le statut de membre honoraire pour permettre aux reprĂ©sentants des salariĂ©s des entreprises souscriptrices d'un contrat collectif d'assister aux instances des mutuelles et unions ; f En simplifiant les modalitĂ©s de vote dans les instances mutualistes, en permettant le vote Ă©lectronique et en clarifiant les rĂšgles de quorum et de majoritĂ© applicables au sein des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales ; g En permettant aux statuts de prĂ©voir un mĂ©canisme de cooptation d'un administrateur en cas de dĂ©cĂšs, de dĂ©mission, de perte de la qualitĂ© de membre participant ou de membre honoraire ou de cessation de mandat Ă la suite d'une dĂ©cision d'opposition Ă la poursuite du mandat prise par l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution en application de l'article L. 612-23-1 du code monĂ©taire et financier ; 4° Modernisant le statut des Ă©lus mutualistes dans le respect des principes mutualistes a En amĂ©liorant la formation des Ă©lus mutualistes ; b En crĂ©ant un nouveau statut de mandataire mutualiste ; 5° Modernisant les principes communs et les rĂšgles de fonctionnement des organismes mutualistes a En affirmant les valeurs et principes qui fondent la spĂ©cificitĂ© des mutuelles en les modernisant de façon Ă acter leur singularitĂ© par rapport aux autres opĂ©rateurs, qui justifie la protection de l'appellation de mutuelle ; b En clarifiant les rĂšgles de dĂ©signation de l'attributaire du boni de liquidation ; 6° Faisant Ă©voluer le rĂŽle des fĂ©dĂ©rations mentionnĂ©es Ă l'article L. 111-5 du code de la mutualitĂ© a En Ă©largissant leur composition aux organismes non mutualistes ; b En leur attribuant une mission de formation et de prĂ©vention des risques auxquels sont confrontĂ©es les mutuelles et unions mentionnĂ©es au livre III du mĂȘme code ; 7° RĂ©visant le dispositif de substitution prĂ©vu Ă l'article L. 211-5 du code de la mutualitĂ© afin de le sĂ©curiser, notamment en renforçant les pouvoirs de la mutuelle substituante et le champ de la solidaritĂ© financiĂšre ; 8° Harmonisant le rĂ©gime des contrats et rĂšglements des mutuelles, institutions et unions relevant du livre II du code de la mutualitĂ© et du livre IX du code de la sĂ©curitĂ© sociale avec celui applicable aux entreprises relevant du code des assurances, afin d'assurer un niveau similaire d'information et de protection du consommateur, d'Ă©viter des distorsions de concurrence entre organismes et de renforcer la qualitĂ© et la lisibilitĂ© de la lĂ©gislation ; 9° RĂ©formant le fonctionnement du Conseil supĂ©rieur de la mutualitĂ© ainsi que le rĂŽle de son secrĂ©tariat et prĂ©cisant son champ de compĂ©tence afin notamment de simplifier les formalitĂ©s consultatives applicables aux textes spĂ©cifiques aux organismes mutualistes ; 10° PrĂ©voyant les mesures de coordination et de toilettage relatives Ă la mise en Ćuvre des dispositions prĂ©vues aux 1° Ă 8° dans le code de la mutualitĂ©, le code de la sĂ©curitĂ© sociale et, le cas Ă©chĂ©ant, dans d'autres codes et lois. projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de cinq mois Ă compter de la publication de l' modifiĂ© les dispositions suivantes -Code des assurances Art. L322-27-1 central mentionnĂ© Ă l'article L. 322-27-1 du code des assurances, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant de la prĂ©sente loi, rĂ©sulte de la modification statutaire de la forme et de l'objet social de Groupama SA approuvĂ©e par l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de cette sociĂ©tĂ© afin de transformer cette derniĂšre en caisse de rĂ©assurances mutuelle agricole. Cette modification des statuts doit prendre effet dans un dĂ©lai de dix-huit mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi. L'article L. 322-27-1 du code des assurances, dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă la prĂ©sente loi, est applicable jusqu'Ă la prise d'effet de la modification des statuts mentionnĂ©e au premier alinĂ©a du prĂ©sent II. dĂ©cision de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de Groupama SA de modifier les statuts de cette sociĂ©tĂ©, dans les conditions mentionnĂ©es au II, n'entraĂźne pas la crĂ©ation d'une nouvelle personne morale. Cette dĂ©cision est opposable aux tiers sans qu'il soit besoin d'aucune formalitĂ©. Nonobstant toute disposition ou stipulation contraire, elle n'ouvre pas droit Ă un remboursement anticipĂ© des titres financiers Ă©mis par la sociĂ©tĂ© Groupama SA ou Ă une quelconque modification de l'un des termes des conventions correspondantes. L'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des obligataires prĂ©vue Ă l'article L. 228-65 du code de commerce n'est pas appelĂ©e Ă dĂ©libĂ©rer sur ces opĂ©rations. actions de Groupama SA qui, Ă la date de prise d'effet de la modification des statuts de cette sociĂ©tĂ© dans les conditions mentionnĂ©es au II du prĂ©sent article, sont dĂ©tenues par des personnes morales remplissant les conditions pour ĂȘtre adhĂ©rentes Ă l'organe central prĂ©vu Ă l'article L. 322-27-1 du code des assurances, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant de la prĂ©sente loi, sont converties en certificats mutualistes Ă©mis par l'organe central. Les actions de Groupama SA dont les dĂ©tenteurs, Ă la date de prise d'effet de la modification des statuts de cette sociĂ©tĂ©, ne remplissent pas les conditions pour ĂȘtre adhĂ©rents Ă l'organe central prĂ©vu au mĂȘme article L. 322-27-1, sont annulĂ©es et remboursĂ©es par l'organe central dans un dĂ©lai de deux mois Ă compter de la date de l'inscription de cette modification au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s. Groupama SA adresse Ă ces dĂ©tenteurs, avant cette date, une proposition financiĂšre d'un niveau ne pouvant ĂȘtre infĂ©rieur Ă la valeur actuelle des actions. Pour l'application du prĂ©sent IV, la valeur des titres de capital convertis ou remboursĂ©s est dĂ©terminĂ©e, en cas de contestation, dans les conditions prĂ©vues au I de l'article 1843-4 du code civil.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.] mesure conservatoire et aucune mesure d'exĂ©cution forcĂ©e visant un bien appartenant Ă un Etat Ă©tranger ne peut ĂȘtre autorisĂ©e par le juge, dans le cadre de l'article L. 111-1-1 du code des procĂ©dures civiles d'exĂ©cution, Ă l'initiative du dĂ©tenteur d'un titre de crĂ©ance mentionnĂ© Ă l'article L. 213-1 A du code monĂ©taire et financier ou de tout instrument ou droit mentionnĂ© Ă l'article L. 211-41 du mĂȘme code prĂ©sentant des caractĂ©ristiques analogues Ă un titre de crĂ©ance, Ă l'encontre d'un Etat Ă©tranger lorsque les conditions dĂ©finies aux 1° Ă 3° du prĂ©sent I sont remplies 1° L'Etat Ă©tranger figurait sur la liste des bĂ©nĂ©ficiaires de l'aide publique au dĂ©veloppement Ă©tablie par le comitĂ© de l'aide au dĂ©veloppement de l'Organisation de coopĂ©ration et de dĂ©veloppement Ă©conomiques lorsqu'il a Ă©mis le titre de crĂ©ance ; 2° Le dĂ©tenteur du titre de crĂ©ance a acquis ce titre alors que l'Etat Ă©tranger se trouvait en situation de dĂ©faut sur ce titre de crĂ©ance ou avait proposĂ© une modification des termes du titre de crĂ©ance ; 3° La situation de dĂ©faut sur le titre de crĂ©ance date de moins de quarante-huit mois au moment oĂč le dĂ©tenteur du titre de crĂ©ance sollicite du juge une ordonnance sur requĂȘte l'autorisant Ă pratiquer une mesure d'exĂ©cution forcĂ©e ou une mesure conservatoire, ou la premiĂšre proposition de modification des termes du titre de crĂ©ance date de moins de quarante-huit mois au moment oĂč le dĂ©tenteur du titre de crĂ©ance sollicite du juge une ordonnance sur requĂȘte l'autorisant Ă pratiquer une mesure d'exĂ©cution forcĂ©e ou une mesure conservatoire, ou une proposition de modification, applicable au titre de crĂ©ance, a Ă©tĂ© acceptĂ©e par des crĂ©anciers reprĂ©sentant au moins 66 % du montant en principal des crĂ©ances Ă©ligibles, indĂ©pendamment du seuil requis, le cas Ă©chĂ©ant, pour l'entrĂ©e en vigueur. juge peut porter les deux limites de dĂ©lai de quarante-huit mois mentionnĂ©es au 3° du I du prĂ©sent article Ă soixante-douze mois en cas de comportement manifestement abusif du dĂ©tenteur du titre de crĂ©ance. situation de dĂ©faut est dĂ©finie conformĂ©ment aux clauses prĂ©vues dans le contrat d'Ă©mission ou, en l'absence de telles clauses, par un manquement Ă l'Ă©chĂ©ance initiale prĂ©vue dans le contrat d'Ă©mission. mesures conservatoires et les mesures d'exĂ©cution forcĂ©e visant un bien appartenant Ă un Etat Ă©tranger peuvent ĂȘtre autorisĂ©es par le juge lorsqu'une proposition de modification des termes du contrat d'Ă©mission, applicable au titre de crĂ©ance dĂ©tenu par le crĂ©ancier, a Ă©tĂ© acceptĂ©e par des crĂ©anciers reprĂ©sentant au moins 66 % du montant en principal des crĂ©ances Ă©ligibles et est entrĂ©e en vigueur, et que le dĂ©tenteur du titre de crĂ©ance a sollicitĂ© la mise en Ćuvre d'une ou plusieurs mesures d'exĂ©cution forcĂ©e ou mesures conservatoires pour des sommes dont le montant total est infĂ©rieur ou Ă©gal au montant qu'il aurait obtenu s'il avait acceptĂ© ladite proposition. l'application du prĂ©sent article, sont assimilĂ©s Ă l'Etat Ă©tranger l'Etat central, les Etats fĂ©dĂ©rĂ©s et leurs Ă©tablissements publics. prĂ©sent article s'applique aux titres de crĂ©ance acquis Ă compter de son entrĂ©e en vigueur. prĂ©sent article est applicable sur tout le territoire de la RĂ©publique française, sous rĂ©serve, pour son application en Nouvelle-CalĂ©donie et en PolynĂ©sie française, de remplacer les rĂ©fĂ©rences au code des procĂ©dures civiles d'exĂ©cution par les dispositions applicables localement ayant le mĂȘme effet. l'application du prĂ©sent article, sont assimilĂ©es aux titres de crĂ©ance les crĂ©ances nĂ©es d'une opĂ©ration de crĂ©dit mentionnĂ©e Ă l'article L. 311-1 du code monĂ©taire et financier. dĂ©tenteur du titre de crĂ©ance communique, Ă peine d'irrecevabilitĂ©, l'acte par lequel il a acquis la crĂ©ance Ă raison de laquelle il demande une mesure conservatoire ou une mesure d'exĂ©cution forcĂ©e et fait connaĂźtre la date et l'intĂ©gralitĂ© des conditions financiĂšres de l'acquisition. Ces informations sont certifiĂ©es par un commissaire aux V DE LA PROTECTION ET DES DROITS DES CONSOMMATEURS EN MATIĂRE FINANCIĂRE Articles 61 Ă 85Dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les enjeux liĂ©s Ă la monnaie fiduciaire Ă l'heure de la dĂ©matĂ©rialisation des moyens de paiement.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.] les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de quatre mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi 1° NĂ©cessaires Ă la transposition de la directive 2014/92/ UE du Parlement europĂ©en et du Conseil du 23 juillet 2014 sur la comparabilitĂ© des frais liĂ©s aux comptes de paiement, le changement de compte de paiement et l'accĂšs Ă un compte de paiement assorti de prestations de base ; 2° Permettant, d'une part, de rendre applicables en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et Ă Wallis-et-Futuna, avec les adaptations nĂ©cessaires, les articles du code monĂ©taire et financier et, le cas Ă©chĂ©ant, d'autres codes et lois, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de la transposition prĂ©vue au 1° pour celles qui relĂšvent de la compĂ©tence de l'Etat et, d'autre part, de procĂ©der aux adaptations nĂ©cessaires de ces articles en ce qui concerne les collectivitĂ©s de Saint-BarthĂ©lemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l'ordonnance. les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est habilitĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, toute mesure relevant du domaine de la loi permettant d'encadrer, dans le respect de l'article L. 312-1-2 du code monĂ©taire et financier, les conditions dans lesquelles la souscription par un consommateur d'un contrat de crĂ©dit immobilier ainsi que le niveau de son taux d'intĂ©rĂȘt peuvent ĂȘtre associĂ©s Ă l'ouverture d'un compte de dĂ©pĂŽt et Ă la domiciliation de ses revenus, quelle que soit leur nature ou leur origine, pendant la durĂ©e du crĂ©dit. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l'ordonnance. modifiĂ© les dispositions suivantes -Code monĂ©taire et financier Art. L221-16 pertes de recettes pour l'Etat rĂ©sultant du III du prĂ©sent article sont compensĂ©es Ă due concurrence par la crĂ©ation d'une taxe additionnelle aux droits mentionnĂ©s aux articles 575 et 575 A du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts. pertes de recettes pour les organismes de sĂ©curitĂ© sociale rĂ©sultant du III du prĂ©sent article sont compensĂ©es Ă due concurrence par la majoration des droits mentionnĂ©s aux articles 575 et 575 A du code gĂ©nĂ©ral des les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de dix-huit mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi 1° NĂ©cessaires Ă la transposition de la directive UE 2015/2366 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 25 novembre 2015 concernant les services de paiement dans le marchĂ© intĂ©rieur, modifiant les directives 2002/65/ CE, 2009/110/ CE et 2013/36/ UE et le rĂšglement UE n° 1093/2010, et abrogeant la directive 2007/64/ CE, y compris les mesures de coordination liĂ©es Ă cette transposition ; 2° Permettant d'une part, de rendre applicables en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et Ă Wallis-et-Futuna, avec les adaptations nĂ©cessaires, les articles du code monĂ©taire et financier et, le cas Ă©chĂ©ant, d'autres codes et lois, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de la transposition prĂ©vue au 1° pour celles qui relĂšvent de la compĂ©tence de l'Etat et, d'autre part, de procĂ©der aux adaptations nĂ©cessaires, le cas Ă©chĂ©ant, de ces articles en ce qui concerne les collectivitĂ©s de Saint-BarthĂ©lemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l' - A créé les dispositions suivantes - Code de la consommation Art. L222-16-2II. - L'exĂ©cution des contrats en cours au 1er juillet 2016 relatifs Ă toute opĂ©ration mentionnĂ©e au premier alinĂ©a de l'article L. 222-16-2 du code de la consommation est poursuivie jusqu'au 30 juin 2017 au plus - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code de la consommation Art. L313-25II. - Le I du prĂ©sent article s'applique aux offres mentionnĂ©es Ă l'article L. 313-25 du code de la consommation formulĂ©es Ă compter du 1er janvier 2017. III. - [Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Titre VI DE L'AMĂLIORATION DE LA SITUATION FINANCIĂRE DES ENTREPRISES AGRICOLES ET DU FINANCEMENT DES ENTREPRISES Articles 86 Ă 123Chapitre Ier Mesures relatives Ă l'amĂ©lioration de la situation financiĂšre des exploitations agricoles Articles 86 Ă 112[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]I Ă IV. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code rural et de la pĂȘche maritime Art. L631-24, Art. L631-25, Art. L631-27, Art. L631-28V. - Le prĂ©sent article entre en vigueur le premier jour du quatriĂšme mois suivant la promulgation de la prĂ©sente loi. Pour les contrats conclus avant cette date et se poursuivant au delĂ du 1er avril 2017, les acheteurs proposent aux producteurs, au plus tard le 1er avril 2017, un avenant permettant leur mise en conformitĂ© avec l'article L. 631-24 du code rural et de la pĂȘche maritime dans sa rĂ©daction rĂ©sultant de la prĂ©sente loi. Pour les contrats conclus avant la conclusion d'un accord-cadre mentionnĂ© au I du mĂȘme article L. 631-24, les acheteurs proposent aux producteurs, dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la conclusion de l'accord-cadre, un avenant permettant leur mise en conformitĂ© Ă un dĂ©lai d'un an Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les pistes de renforcement des missions de l'Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires ainsi que sur l'opportunitĂ© de favoriser fiscalement et rĂ©glementairement 1° En matiĂšre agroalimentaire, la mise en place de contrats tripartites et pluriannuels entre les agriculteurs, les transformateurs et les distributeurs ;2° L'agriculture de groupe ;3° Le financement participatif dans le foncier agricole ;4° Le dĂ©veloppement de pratiques commerciales Ă©thiques et Ă©quitables.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]I Ă III. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code de commerce Art. L441-7, Art. L441-7-1, Art. L442-6IV. - Les I et II du prĂ©sent article s'appliquent aux conventions conclues Ă compter du 1er janvier un dĂ©lai d'un an Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l'Ă©valuation de l'article L. 441-8 du code de commerce et Ă©met des recommandations visant Ă le faire appliquer.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Chapitre II Mesures relatives Ă l'amĂ©lioration du financement des entreprises Articles 113 Ă 123Dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi 1° Permettant la crĂ©ation d'une nouvelle catĂ©gorie d'organismes ayant pour objet l'exercice de l'activitĂ© de retraite professionnelle supplĂ©mentaire ; 2° Ayant pour objet la crĂ©ation du rĂ©gime prudentiel applicable aux organismes créés en application du 1°, en conformitĂ© avec le cadre prĂ©vu par la directive 2003/41/ CE du Parlement europĂ©en et du Conseil du 3 juin 2003 concernant les activitĂ©s et la surveillance des institutions de retraite professionnelle ; 3° Etendant aux organismes créés en application du 1° le contrĂŽle de l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution et les soumettant aux autres dispositions du code monĂ©taire et financier applicables aux organismes d'assurance ; 4° Permettant les transferts de portefeuilles de contrats couvrant des engagements de retraite professionnelle supplĂ©mentaire des entreprises d'assurance, des mutuelles ou unions rĂ©gies par le livre II du code de la mutualitĂ© et des institutions de prĂ©voyance ou unions rĂ©gies par le titre III du livre IX du code de la sĂ©curitĂ© sociale vers les organismes créés en application du 1° ; 5° Permettant Ă des entreprises d'assurance, des mutuelles ou unions rĂ©gies par le livre II du code de la mutualitĂ© et des institutions de prĂ©voyance ou unions rĂ©gies par le titre III du livre IX du code de la sĂ©curitĂ© sociale ne couvrant que des engagements de retraite professionnelle supplĂ©mentaire de modifier, selon une procĂ©dure adaptĂ©e, leur objet pour relever de la catĂ©gorie d'organismes mentionnĂ©e au 1° ; 6° Modifiant en tant que de besoin l'article 8 de l'ordonnance n° 2006-344 du 23 mars 2006 relative aux retraites professionnelles supplĂ©mentaires, afin de moderniser les dispositions applicables aux institutions de retraite professionnelle collective ainsi qu'aux personnes morales administrant ces institutions et de prĂ©ciser les modalitĂ©s de leur agrĂ©ment et d'exercice de leur activitĂ© ; 7° NĂ©cessaires Ă l'adaptation des dispositions du code des assurances, du code de commerce, du code de la mutualitĂ©, du code de la sĂ©curitĂ© sociale, du code du travail et, le cas Ă©chĂ©ant, d'autres codes et lois, pour la mise en Ćuvre des dispositions prĂ©vues aux 1° Ă 6° ; 8° Adaptant les rĂšgles applicables aux rĂ©gimes de retraite supplĂ©mentaire en points gĂ©rĂ©s par des entreprises d'assurance, des mutuelles ou unions rĂ©gies par le livre II du code de la mutualitĂ© et des institutions de prĂ©voyance ou unions rĂ©gies par le titre III du livre IX du code de la sĂ©curitĂ© sociale en matiĂšre d'information des affiliĂ©s et en matiĂšre de conversion et d'Ă©volution de la valeur de service de l'unitĂ© de rente. Les modifications de la garantie de non-baisse de la valeur de service de l'unitĂ© de rente peuvent uniquement intervenir dans le cadre d'un avenant acceptĂ© par le souscripteur. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l' - A créé les dispositions suivantes - Code des assurances Art. L132-9-5II. - A créé les dispositions suivantes - Code de la mutualitĂ© Art. L223-10-4III. - L'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution remet, avant le 1er juin 2018, un rapport au Parlement prĂ©sentant, pour les annĂ©es 2016 et 2017, un bilan dĂ©crivant les actions menĂ©es pour contrĂŽler le respect par les entreprises d'assurance, les institutions de prĂ©voyance et les mutuelles et unions du code de la mutualitĂ© de l'obligation d'information mentionnĂ©e aux articles L. 132-9-4 du code des assurances et L. 223-10-4 du code de la mutualitĂ©, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant des I et II du prĂ©sent et II. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code des assurances Art. L144-2, Art. L132-23III. - Les I et II s'appliquent aux contrats en cours Ă la date de publication de la prĂ©sente les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de dix mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi 1° Tendant Ă favoriser le dĂ©veloppement des Ă©missions obligataires, notamment en simplifiant et modernisant les dispositions relatives Ă ces Ă©missions et Ă la reprĂ©sentation des porteurs d'obligations, ainsi qu'en abrogeant les dispositions devenues caduques et en mettant le droit français en conformitĂ© avec le droit europĂ©en ; 2° Tendant Ă clarifier et moderniser le rĂ©gime dĂ©fini Ă l'article 2328-1 du code civil, ci-aprĂšs dĂ©nommĂ© agent des sĂ»retĂ©s a En permettant aux crĂ©anciers de constituer les sĂ»retĂ©s et garanties dont ils bĂ©nĂ©ficient au nom d'un agent des sĂ»retĂ©s qu'ils dĂ©signent, qui sera titulaire desdites sĂ»retĂ©s et garanties, qu'il tiendra sĂ©parĂ©es de son patrimoine propre et dont il percevra le produit de la rĂ©alisation ou de l'exercice ; b En dĂ©finissant les conditions dans lesquelles l'agent des sĂ»retĂ©s peut, dans la limite des pouvoirs qui lui ont Ă©tĂ© confĂ©rĂ©s par les crĂ©anciers de l'obligation garantie, intenter une action pour dĂ©fendre leurs intĂ©rĂȘts, y compris en justice, et procĂ©der Ă la dĂ©claration des crĂ©ances garanties en cas de procĂ©dure collective ; c En prĂ©cisant les effets de l'ouverture, Ă l'Ă©gard de l'agent des sĂ»retĂ©s, d'une procĂ©dure de sauvegarde, de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire ou d'une procĂ©dure de rĂ©tablissement professionnel sur les sĂ»retĂ©s et garanties dont celui-ci est titulaire en cette qualitĂ© et sur le produit de leur rĂ©alisation ou exercice ; d En permettant la dĂ©signation d'un agent des sĂ»retĂ©s provisoire, ou le remplacement de l'agent des sĂ»retĂ©s, lorsque ce dernier manquera Ă ses devoirs ou mettra en pĂ©ril les intĂ©rĂȘts qui lui sont confiĂ©s, ou encore fera l'objet d'une procĂ©dure de sauvegarde, de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire ou d'une procĂ©dure de rĂ©tablissement professionnel ; e En adaptant toutes dispositions de nature lĂ©gislative permettant d'assurer la mise en Ćuvre et de tirer les consĂ©quences des modifications ainsi apportĂ©es ; 3° Tendant Ă adapter les dispositions du code monĂ©taire et financier relatives Ă certains fonds d'investissement alternatifs destinĂ©s Ă des investisseurs professionnels et dont les possibilitĂ©s de rachats de parts ou actions sont limitĂ©es et Ă leurs sociĂ©tĂ©s de gestion agréées conformĂ©ment Ă la directive 2011/61/ UE du Parlement europĂ©en et du Conseil du 8 juin 2011 sur les gestionnaires de fonds d'investissement alternatifs et modifiant les directives 2003/41/ CE et 2009/65/ CE ainsi que les rĂšglements CE n° 1060/2009 et UE n° 1095/2010 pour dĂ©finir notamment les modalitĂ©s et conditions dans lesquelles ces fonds peuvent octroyer des prĂȘts Ă des entreprises ; 4° Tendant Ă adapter les dispositions du code monĂ©taire et financier relatives aux organismes de placement collectif et Ă leurs dĂ©positaires et gestionnaires, dans l'objectif de renforcer leur capacitĂ© Ă assurer le financement et le refinancement d'investissements, de projets ou de risques, y compris les dispositions relatives aux modalitĂ©s d'acquisition et de cession de crĂ©ances non Ă©chues, de moderniser leur fonctionnement, et de renforcer la protection des investisseurs ; 5° Tendant Ă prĂ©ciser les conditions dans lesquelles des investisseurs du secteur financier, quel que soit le droit qui leur est applicable, peuvent acquĂ©rir, par dĂ©rogation aux rĂšgles mentionnĂ©es Ă l'article L. 511-5 du code monĂ©taire et financier, des crĂ©ances Ă caractĂšre professionnel non Ă©chues auprĂšs d'Ă©tablissements de crĂ©dit et de sociĂ©tĂ©s de financement. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l'ordonnance. modifiĂ© les dispositions suivantes -Code monĂ©taire et financier Art. L214-154, Art. L214-160, Art. L214-169, Art. L211-4I Ă IV. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code monĂ©taire et financier Art. L214-7-4, Art. L214-8-7, Art. L214-24-33, Art. L214-24-41, Art. L214-67-1, Art. L214-77, Art. L621-13-2, Art. L621-13-3- Code de la mutualitĂ© Art. L223-2- Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Art. L932-15-1A créé les dispositions suivantes - Code des assurances Art. L131-4V. - L'article L. 131-4 du code des assurances, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du II du prĂ©sent article, l'article L. 223-2 du code de la mutualitĂ©, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du III du prĂ©sent article et l'article L. 932-15-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du IV du prĂ©sent article, sont immĂ©diatement applicables aux contrats d'assurance sur la vie et aux contrats de capitalisation en cours Ă la date d'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par voie d'ordonnance, dans un dĂ©lai de douze mois Ă compter de la date de promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi nĂ©cessaires pour 1° Adapter le droit applicable aux titres financiers et aux valeurs mobiliĂšres afin de permettre la reprĂ©sentation et la transmission, au moyen d'un dispositif d'enregistrement Ă©lectronique partagĂ©, des titres financiers qui ne sont pas admis aux opĂ©rations d'un dĂ©positaire central ni livrĂ©s dans un systĂšme de rĂšglement et de livraison d'instruments financiers ; 2° AmĂ©nager et modifier toutes dispositions de nature lĂ©gislative favorisant la mise en Ćuvre et tirant les consĂ©quences des modifications apportĂ©es en application du 1°. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la publication de l' sociĂ©tĂ©s civiles de placement immobilier relevant du III de l'article 33 de l'ordonnance n° 2013-676 du 25 juillet 2013 modifiant le cadre juridique de la gestion d'actifs demeurent soumises aux articles L. 214-50 Ă L. 214-84-3 du code monĂ©taire et financier dans leur rĂ©daction antĂ©rieure Ă cette ordonnance. II Ă modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 828 bis A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code monĂ©taire et financier Art. L214-61, Art. L532-29, Art. L511-45, Art. L543-1 A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code monĂ©taire et financier Art. L214-119, Art. L214-120 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code monĂ©taire et financier Art. L214-12, Art. L214-24-45, Art. L621-13-4, Art. L532-10, Art. L621-13-1, Art. L214-24, Art. L214-7-3, Art. L214-24-32, Art. L214-157, Art. L214-160 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code des assurances Art. L160-19Dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de neuf mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi 1° NĂ©cessaires Ă la modification de la dĂ©finition des prestataires de services d'investissement, des entreprises d'investissement et des sociĂ©tĂ©s de gestion de portefeuille, afin de prĂ©ciser que les sociĂ©tĂ©s de gestion de portefeuille ne sont pas des entreprises d'investissement ; 2° NĂ©cessaires Ă l'adaptation de la lĂ©gislation applicable aux sociĂ©tĂ©s de gestion de portefeuille en ce qui concerne les services d'investissement qu'elles sont autorisĂ©es Ă fournir eu Ă©gard au droit de l'Union europĂ©enne, leur libertĂ© d'Ă©tablissement et leur libertĂ© de prestation de services dans d'autres Etats membres de l'Union europĂ©enne et leurs rĂšgles d'organisation et de bonne conduite, en particulier les rĂšgles relatives Ă l'obligation de meilleure exĂ©cution et de dĂ©claration des transactions, Ă la nature de leur relation de clientĂšle avec les porteurs de parts ou d'actions d'organismes de placement collectifs qu'elles gĂšrent et au rĂ©gime des conventions entre producteurs et distributeurs d'instruments financiers, ainsi que les autres mesures d'adaptation et d'harmonisation des articles du code monĂ©taire et financier et, le cas Ă©chĂ©ant, d'autres codes et lois applicables aux prestataires de services d'investissement, aux entreprises d'investissement et aux sociĂ©tĂ©s de gestion de portefeuille, pour tenir compte de la modification mentionnĂ©e au 1° ; 3° NĂ©cessaires Ă l'adaptation de la rĂ©partition des compĂ©tences entre l'AutoritĂ© des marchĂ©s financiers et l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution, pour tenir compte des modifications mentionnĂ©es aux 1° et 2°. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l' Ă III. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - LOI n° 2013-100 du 28 janvier 2013 Art. 40-1A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code de la consommation Art. L522-7A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code de commerce Art. L441-6, Art. L443-1, Art. L465-2IV. - Dans un dĂ©lai d'un an Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l'adĂ©quation Ă ses missions des moyens allouĂ©s Ă la direction gĂ©nĂ©rale de la concurrence, de la consommation et de la rĂ©pression des VII DE L'AMĂLIORATION DU PARCOURS DE CROISSANCE POUR LES ENTREPRISES Articles 124 Ă 147 modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 50-0, Art. 64 bis, Art. 102 ter, Art. 103, le VI de l'article 293 B du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, au 1er janvier 2017, les seuils mentionnĂ©s aux I Ă V du mĂȘme article sont actualisĂ©s dans la mĂȘme proportion que le rapport entre la valeur de la limite supĂ©rieure de la deuxiĂšme tranche du barĂšme de l'impĂŽt sur le revenu applicable aux revenus de 2016 et la valeur de la limite supĂ©rieure de la troisiĂšme tranche du barĂšme de l'impĂŽt sur le revenu applicable aux revenus de 2013. b du 1° et les 2° et 3° du I s'appliquent aux options exercĂ©es ou reconduites tacitement Ă compter du 1er janvier Ă III. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code de l'Ă©ducation Art. L335-5A modifiĂ© les dispositions suivantes - Loi n°96-603 du 5 juillet 1996 Art. 16, Art. 17, Art. 17-1, Art. 19, Art. 21A abrogĂ© les dispositions suivantes - Loi n° 46-1173 du 23 mai 1946 Art. 3, Art. 3-1, Art. 5, Art. 6, Art. 7, Art. 8IV. - Le prĂ©sent article entre en vigueur Ă une date fixĂ©e par dĂ©cret, et au plus tard douze mois aprĂšs la promulgation de la prĂ©sente loiI. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Loi n°96-603 du 5 juillet 1996 Art. 19II. - Les personnes qui, Ă la date de publication de la prĂ©sente loi, sont immatriculĂ©es au rĂ©pertoire des mĂ©tiers ou au registre des entreprises et emploient au moins cinquante salariĂ©s peuvent demeurer immatriculĂ©es pendant une durĂ©e de cinq ans Ă compter de cette date.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de douze mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi pour simplifier et clarifier les obligations d'information prĂ©vues par le code de commerce Ă la charge des sociĂ©tĂ©s 1° En simplifiant, rĂ©organisant et modernisant, au sein du chapitre V du titre II du livre II du code de commerce, tout ou partie des informations du rapport prĂ©vu aux articles L. 225-37, L. 225-68 et L. 226-10-1 du mĂȘme code et du rapport prĂ©vu notamment aux articles L. 225-100, L. 225-100-1, L. 225-100-2, L. 225-100-3, L. 225-102 et L. 225-102-1 dudit code, dans des conditions qui prĂ©servent les missions du commissaire aux comptes dĂ©finies Ă l'article L. 225-235 du mĂȘme code, et en redĂ©finissant le contenu du rapport annuel de l'AutoritĂ© des marchĂ©s financiers prĂ©vu Ă l'article L. 621-18-3 du code monĂ©taire et financier ; 2° En allĂ©geant les obligations de dĂ©pĂŽt des rapports et informations affĂ©rents Ă chaque exercice prĂ©vues notamment Ă l'article L. 232-23 du code de commerce pour les sociĂ©tĂ©s qui Ă©tablissent le document de rĂ©fĂ©rence prĂ©vu par le rĂšglement gĂ©nĂ©ral de l'AutoritĂ© des marchĂ©s financiers ; 3° En autorisant, dans un dĂ©lai de deux ans, pour les sociĂ©tĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 232-21 Ă L. 232-23 du mĂȘme code, le dĂ©pĂŽt des comptes annuels en annexe au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s, sous une forme dĂ©matĂ©rialisĂ©e automatiquement exploitable par un traitement informatique ; 4° En allĂ©geant le contenu du rapport de gestion prĂ©vu Ă l'article L. 232-1 dudit code pour les petites entreprises telles que dĂ©finies par la directive 2013/34/ UE du Parlement europĂ©en et du Conseil du 26 juin 2013 relative aux Ă©tats financiers annuels, aux Ă©tats financiers consolidĂ©s et aux rapports y affĂ©rents de certaines formes d'entreprises, modifiant la directive 2006/43/ CE du Parlement europĂ©en et du Conseil et abrogeant les directives 78/660/ CEE et 83/349/ CEE du Conseil. Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la publication de l'ordonnance.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]I. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 223 quinquies BII. - Le I s'applique aux dĂ©clarations devant ĂȘtre dĂ©posĂ©es au titre des exercices clos Ă compter du 31 dĂ©cembre Ă V. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Ordonnance n° 2016-315 du 17 mars 2016 Art. 53- Code de commerce Art. L820-3, Art. L821-1, Art. L821-2, Art. L821-5, Art. L821-12-2, Art. L821-12-3, Art. L822-1-5, Art. L822-1-6, Art. L822-11, Art. L823-1, Art. L823-3-1, Art. L823-15, Art. L823-16, Art. L823-20, Art. L824-4, Art. L824-7, Art. L824-9, Art. L824-13, Art. L824-15, Art. L950-1- Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Art. L931-13- Code monĂ©taire et financier Art. L612-45VI. - Le prĂ©sent article, Ă l'exception du 4° du III et du IV, est applicable dans les Ăźles Wallis et Futuna. VII. - Le V est applicable en Nouvelle-CalĂ©donie et en PolynĂ©sie les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de douze mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, les mesures relevant du domaine de la loi pour faciliter la prise de dĂ©cision et la participation des actionnaires au sein des entreprises et encourager le recours aux technologies numĂ©riques dans le fonctionnement des organes sociaux 1° En autorisant les sociĂ©tĂ©s dont les actions ne sont pas admises Ă la nĂ©gociation sur un marchĂ© rĂ©glementĂ© Ă prĂ©voir la tenue des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales extraordinaires mentionnĂ©es Ă l'article L. 225-96 du code de commerce et des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales ordinaires mentionnĂ©es Ă l'article L. 225-98 du mĂȘme code par recours exclusif aux moyens de visioconfĂ©rence ou de tĂ©lĂ©communication, tout en prĂ©servant la facultĂ© pour les actionnaires de demander, dans certaines conditions, la convocation d'une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale physique ;2° En modifiant l'article L. 227-10 du mĂȘme code pour permettre aux conventions intervenues entre l'associĂ© unique, ou une sociĂ©tĂ© le contrĂŽlant, et la sociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e unipersonnelle de ne donner lieu qu'Ă une mention au registre des dĂ©cisions ;3° En permettant, au chapitre III du titre II du livre II du mĂȘme code, aux associĂ©s des sociĂ©tĂ©s Ă responsabilitĂ© limitĂ©e, lorsqu'ils reprĂ©sentent individuellement ou ensemble une fraction minimale du capital de la sociĂ©tĂ©, de dĂ©poser des projets de rĂ©solution ou des points Ă l'ordre du jour de l'assemblĂ©e ;4° En modifiant l'article L. 227-19 du mĂȘme code pour supprimer la rĂšgle de l'accord unanime des associĂ©s de sociĂ©tĂ©s par actions simplifiĂ©es en cas d'adoption ou de modification d'une clause soumettant toute cession d'actions Ă l'agrĂ©ment prĂ©alable de la projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la publication de l'ordonnance.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Titre VIII DISPOSITIONS DE MODERNISATION DE LA VIE ĂCONOMIQUE ET FINANCIĂRE Articles 148 Ă 164Dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, toute mesure relevant du domaine de la loi nĂ©cessaire pour assurer la transposition de la directive 2014/104/UE du Parlement europĂ©en et du Conseil du 26 novembre 2014 relative Ă certaines rĂšgles rĂ©gissant les actions en dommages et intĂ©rĂȘts en droit national pour les infractions aux dispositions du droit de la concurrence des Etats membres et de l'Union projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l' les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă prendre par ordonnance, dans un dĂ©lai de douze mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, toute mesure relevant du domaine de la loi et modifiant les dispositions du chapitre Ier du titre II du livre IV du code des assurances relatives au Fonds de garantie des assurances obligatoires, Ă l'effet de 1° Limiter le champ de la mission du fonds de garantie dĂ©finie Ă la section 6 du mĂȘme chapitre Ier Ă la protection des personnes assurĂ©es, souscriptrices, adhĂ©rentes ou bĂ©nĂ©ficiaires de prestations de contrats d'assurance dont la souscription est rendue obligatoire par les articles L. 211-1 et L. 242-1 du mĂȘme code ;2° PrĂ©ciser les modalitĂ©s d'intervention du fonds de garantie en cas de dĂ©faillance d'une entreprise proposant des contrats d'assurance dont la souscription est rendue obligatoire par les mĂȘmes articles L. 211-1 et L. 242-1 et opĂ©rant en France sous le rĂ©gime du libre Ă©tablissement ou de la libre prestation de services ;3° Supprimer la contribution des entreprises d'assurance, prĂ©vue au 3° de l'article L. 421-4-1 dudit code, au titre du financement de la mission dĂ©finie Ă l'article L. 421-9 du mĂȘme code ;4° Rationaliser les modalitĂ©s de financement de la mission dĂ©faillance » du fonds de garantie ;5° PrĂ©ciser les modalitĂ©s d'indemnisation des personnes victimes d'un dommage en dehors du cadre de leurs activitĂ©s professionnelles, bĂ©nĂ©ficiaires d'une garantie de contrats d'assurance dont la souscription est rendue obligatoire par l'article L. 251-1 du mĂȘme code et qui sont fournis par une entreprise d'assurance projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la publication de l' n° 2015-1024 du 20 aoĂ»t 2015 portant diverses dispositions d'adaptation de la lĂ©gislation au droit de l'Union europĂ©enne en matiĂšre financiĂšre est ratifiĂ©e. modifiĂ© les dispositions suivantes -Code monĂ©taire et financier Art. L312-8-2, Art. L313-50, Art. L612-35, Art. L613-37, Art. L613-44Art. L613-45-1, Art. L613-46, Art. L613-46-1, Art. L613-46-5, Art. L613-50-4, Art. L613-55-6, Art. L613-55-9, Art. L613-55-13, Art. L613-56-1, Art. L613-56-3, Art. L613-57-1 II est applicable en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et dans les Ăźles Wallis et - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code monĂ©taire et financier Art. 4° du I de l'article L. 613-30-3 du code monĂ©taire et financier est applicable aux titres, crĂ©ances, instruments ou droits Ă©mis Ă compter de l'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi. 3° et 4° du I du mĂȘme article L. 613-30-3 s'appliquent aux procĂ©dures de liquidation ouvertes Ă compter de l'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente public national dĂ©nommĂ© Institut d'Ă©mission des dĂ©partements d'outre-mer est transformĂ© en une sociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e rĂ©gie par le code de commerce et portant la mĂȘme dĂ©nomination, dont le capital est dĂ©tenu par la Banque de France. Cette transformation de statut juridique n'emporte ni crĂ©ation d'une personne morale nouvelle ni cessation d'activitĂ©. Les biens immobiliers de l'institut qui relĂšvent du domaine public sont dĂ©classĂ©s. L'ensemble des biens, droits, obligations, contrats et conventions de l'Institut d'Ă©mission des dĂ©partements d'outre-mer sont repris de plein droit et sans formalitĂ© par la sociĂ©tĂ© qui se substitue Ă l'Ă©tablissement public. La validitĂ© Ă l'Ă©gard des tiers des actes administratifs pris par l'Ă©tablissement public n'est pas affectĂ©e. Les opĂ©rations entraĂźnĂ©es par cette transformation ne donnent pas lieu Ă la perception de droits, impĂŽts ou taxes de quelque nature que ce soit. Cette transformation n'emporte pas de consĂ©quence sur le rĂ©gime juridique auquel sont soumis les personnels sous contrat de travail avec l'institut. Les personnels dĂ©tachĂ©s auprĂšs de l'institut par l'Agence française de dĂ©veloppement restent rĂ©gis par les dispositions qui leur sont applicables dans leur Ă©tablissement d'origine. Les comptes du dernier exercice de l'Ă©tablissement public sont approuvĂ©s dans les conditions de droit commun par la sociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e. Le bilan d'ouverture au 1er janvier de la sociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e est constituĂ© Ă partir du bilan de l'Ă©tablissement public au 31 dĂ©cembre de l'annĂ©e de publication de la prĂ©sente loi. II. Ă III. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code monĂ©taire et financier Art. L711-6-1, Art. L711-6, Art. L711-8, Art. L711-7, Art. L711-8-1A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code monĂ©taire et financier Art. L711-2, Art. L711-4, Art. L711-5, Art. L711-11, Art. L711-9, Art. L711-10, Art. L711-12, Art. le 1er janvier suivant l'annĂ©e de publication de la prĂ©sente loi, l'Etat et la Banque de France concluent une convention prĂ©voyant les modalitĂ©s d'indemnisation de l'Etat du fait de la transformation de l'Ă©tablissement public en sociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e dont le capital est dĂ©tenu par la Banque de France. I Ă III du prĂ©sent article entrent en vigueur le 1er janvier de l'annĂ©e suivant la publication de la prĂ©sente au V de l'article 152 de la loi n° 2016-1691 du 9 dĂ©cembre 2016, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier de l'annĂ©e suivant la publication de ladite - Avant le 1er janvier 2017, une convention-cadre pluriannuelle est conclue entre la Caisse des dĂ©pĂŽts et consignations et l'Agence française de dĂ©veloppement, aprĂšs avis des ministres chargĂ©s de l'Ă©conomie, du budget, des affaires Ă©trangĂšres, du dĂ©veloppement international et des outre-mer, ainsi que de la commission de surveillance de la Caisse des dĂ©pĂŽts et consignations. Cette convention-cadre dĂ©finit les modalitĂ©s de coordination et d'intĂ©gration des moyens, des rĂ©seaux et des expertises ainsi que les synergies, les actions communes et les mĂ©canismes permettant l'Ă©change de personnels en vue de la mise en Ćuvre de projets en matiĂšre de dĂ©veloppement et de solidaritĂ© internationale ainsi que de dĂ©veloppement des - Avant le 1er octobre 2019, le Gouvernement remet au Parlement un rapport Ă©tablissant le bilan de la mise en Ćuvre de la convention mentionnĂ©e au I et formulant des propositions permettant d'amĂ©liorer la coopĂ©ration entre la Caisse des dĂ©pĂŽts et consignations et l'Agence française de dĂ©veloppement.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]I. - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code de commerce Art. L225-47, Art. L225-53, Art. L225-63, Art. L225-81, Art. L225-100A créé les dispositions suivantes - Code de commerce Art. L225-82-2A créé les dispositions suivantes - Code de commerce Art. L225-37-2II. - Les 1° Ă 6° du I sont applicables Ă compter de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale ordinaire statuant sur le premier exercice clos aprĂšs la promulgation de la prĂ©sente loi. Le 7° du mĂȘme I est applicable Ă compter de la clĂŽture de l'exercice suivant le premier exercice clos aprĂšs la promulgation de la prĂ©sente loi.[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.][Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]Titre IX DISPOSITIONS RELATIVES Ă L'OUTRE-MER Articles 165 Ă 169[Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016.]I. - Les articles 1er Ă 4, le I de l'article 5, les articles 6, 8, 9, 11, 13, 15, 25, 26, 33, les II et IV de l'article 39, les articles 43 et 44, le III de l'article 46, l'article 50, les 1° Ă 3° et 5° Ă 7° de l'article 56, le 1° de l'article 72 et les articles 151 et 153 sont applicables en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et dans les Ăźles Wallis et Futuna. II. - Les I et II de l'article 123, les articles 128 Ă 130, 137, 142, 143, les I et IV de l'article 144 et les articles 145 et 146 sont applicables dans les Ăźles Wallis et - A modifiĂ© les dispositions suivantes - Code du travail applicable Ă Mayotte. Art. L032-1IV. - A créé les dispositions suivantes - Loi n° 52-1322 du 15 dĂ©cembre 1952 Art. 1 bisV. - Les II et IV de l'article 39 sont applicables dans les Terres australes et antarctiques - Dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisĂ© Ă procĂ©der par ordonnance, dans un dĂ©lai de vingt-quatre mois Ă compter de la promulgation de la prĂ©sente loi, Ă l'adoption d'un code monĂ©taire et financier applicable en outre-mer, se substituant aux dispositions du code monĂ©taire et financier relatives Ă l' - Le code mentionnĂ© au I regroupe et organise les rĂšgles spĂ©cifiques Ă l'outre-mer relatives Ă la monnaie, aux produits financiers et d'Ă©pargne, aux services bancaires, aux marchĂ©s financiers, aux prestataires de services bancaires et d'investissement et aux institutions en matiĂšre bancaire et financiĂšre qui sont celles en vigueur Ă la date de publication de l'ordonnance ainsi que, le cas Ă©chĂ©ant, les rĂšgles dĂ©jĂ publiĂ©es mais non encore en vigueur Ă cette - Le Gouvernement est autorisĂ© Ă apporter aux rĂšgles du code monĂ©taire et financier applicable en outre-mer mentionnĂ© au I les modifications nĂ©cessaires pour 1° Assurer le respect de la hiĂ©rarchie des normes et la cohĂ©rence rĂ©dactionnelle des dispositions mentionnĂ©es au II et abroger les dispositions devenues sans objet ;2° Rendre applicables, avec les adaptions nĂ©cessaires, d'une part, en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et dans les Ăźles Wallis et Futuna, les dispositions des livres Ier Ă VI du code monĂ©taire et financier, pour celles qui relĂšvent de la compĂ©tence de l'Etat et, d'autre part, Ă procĂ©der, le cas Ă©chĂ©ant, aux adaptations de ces articles aux collectivitĂ©s de Saint-BarthĂ©lemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon ;3° Rendre applicables dans les pays et territoires d'outre-mer, dans le respect de la hiĂ©rarchie des normes, les rĂšglements europĂ©ens entrant dans le champ du code dĂ©fini au II du prĂ©sent - Un projet de loi de ratification est dĂ©posĂ© devant le Parlement dans un dĂ©lai de six mois Ă compter de la publication de l'ordonnance prĂ©vue au prĂ©sente loi sera exĂ©cutĂ©e comme loi de l' Ă Paris, le 9 dĂ©cembre HollandePar le PrĂ©sident de la RĂ©publique Le Premier ministre,Bernard CazeneuveLe ministre des affaires Ă©trangĂšres et du dĂ©veloppement international,Jean-Marc AyraultLa ministre de l'environnement, de l'Ă©nergie et de la mer, chargĂ©e des relations internationales sur le climat,SĂ©golĂšne RoyalLe ministre de l'Ă©conomie et des finances,Michel SapinLa ministre des affaires sociales et de la santĂ©,Marisol TouraineLe ministre de la dĂ©fense,Jean-Yves Le DrianLe garde des sceaux, ministre de la justice,Jean-Jacques UrvoasLa ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social,Myriam El KhomriLe ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forĂȘt, porte-parole du Gouvernement,StĂ©phane Le FollLa ministre de la fonction publique,Annick GirardinLa ministre des outre-mer,Ericka BareigtsLe secrĂ©taire d'Etat chargĂ© du budget et des comptes publics,Christian EckertLa secrĂ©taire d'Etat chargĂ©e du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'Ă©conomie sociale et solidaire,Martine PinvilleLe secrĂ©taire d'Etat chargĂ© de l'industrie,Christophe Sirugue1 Loi n° Travaux prĂ©paratoires AssemblĂ©e nationale Propositions de loi n° 3623 ;Rapport de M. SĂ©bastien Denaja, au nom de la commission des lois, n° 3785 ;Avis de M. Dominique Potier, au nom de la commission des affaires Ă©conomiques, n° 3756 ;Avis de M. Romain Colas, au nom de la commission des finances, n° 3778 ;Discussion les 6, 7, 8 et 9 juin 2016 et adoption, aprĂšs engagement de la procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e, le 14 juin 2016 TA n° 755.SĂ©nat Projet de loi, adoptĂ© par l'AssemblĂ©e nationale, n° 691 2015-2016 ;Rapport de M. François Pillet, au nom de la commission des lois, n° 712 2015-2016 ;Avis de M. Daniel GrĂ©millet, au nom de la commission des affaires Ă©conomiques, n° 707 2015-2016 ;Avis de M. AlbĂ©ric de Montgolfier, au nom de la commission des finances, n° 707 2015-2016 ;Texte de la commission n° 713 2015-2016 ;Discussion les 4, 5, 6, 7 et 8 juillet et adoption le 8 juillet 2016 TA n° 174, 2015-2016.AssemblĂ©e nationale Projet de loi, modifiĂ© par le SĂ©nat, n° 3939 ;Rapport de M. SĂ©bastien Denaja, au nom de la commission mixte paritaire, n° Rapport de M. François Pillet, au nom de la commission mixte paritaire, n° 830 2015-2016 ;RĂ©sultat des travaux de la commission n° 831 2015-2016.AssemblĂ©e nationale Projet de loi, modifiĂ© par le SĂ©nat, n° 3939 ;Rapport de M. SĂ©bastien Denaja, au nom de la commission des lois, n° 4045 ;Avis de M. Dominique Potier, au nom de la commission des affaires Ă©conomiques, n° 4039 ;Avis de M. Romain Colas, au nom de la commission des finances, n° 4040 ;Discussion les 28 et 29 septembre et adoption le 29 septembre 2016 TA n° 818.SĂ©nat Projet de loi, adoptĂ© par l'AssemblĂ©e nationale en nouvelle lecture, n° 866 2015-2016 ;Rapport de M. François Pillet, au nom de la commission des lois, n° 79 2016-2017 ;Avis de M. Daniel GrĂ©millet, au nom de la commission des affaires Ă©conomiques, n° 68 2016-2017 ;Avis de M. AlbĂ©ric de Montgolfier, au nom de la commission des finances, n° 71 2016-2017 ;Texte de la commission n° 80 2016-2017 ;Discussion et adoption le 3 novembre 2016 TA n° 14, 2016-2017.AssemblĂ©e nationale Projet de loi, modifiĂ© par le SĂ©nat en nouvelle lecture, n° 4187 ;Rapport de M. SĂ©bastien Denaja, au nom de la commission des lois, n° 4189 ;Discussion et adoption, en lecture dĂ©finitive, le 8 novembre 2016 TA n° 830.- Conseil constitutionnel DĂ©cision n° 2016-741 DC du 8 dĂ©cembre 2016 publiĂ©e au Journal officiel de ce jour.
EnĂ©lectricitĂ©, les charges de service public (articles L. 121-7, L. 121-8 et L. 121-8-1 du code de lâĂ©nergie) regroupent les surcoĂ»ts rĂ©sultant des mĂ©canismes de soutien aux Ă©nergies renouvelables et Ă la cogĂ©nĂ©ration, de la pĂ©rĂ©quation tarifaire dans les zones non interconnectĂ©es (ZNI), de certains dispositifs sociaux
I. â A. Ă créé les dispositions suivantes -Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Art. L136-6-1A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code du travailArt. L3252-3, Art. L3253-8, Art. L3253-17, Art. L7122-23, Art. L7122-24 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 87-0 A A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1665 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1605 bis, Art. 1663 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1663 B, Art. 1663 C A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1664 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Sct. 3. Retenue Ă la source sur les salaires, pensions et rentes viagĂšres Ă titre gratuit, Art. 1671 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1680 A A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1681 A, Art. 1681 B, Art. 1681 C, Art. 1681 D, Art. 1681 E A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Art. L133-5-3, Art. L133-5-6, Art. L133-5-7, Art. L133-5-8, Art. L133-5-10, Art. L133-5-11, Art. L133-9, Art. L133-9-1, Art. L133-9-2, Art. L133-9-4, Art. L136-6 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Sct. Section VIII PrĂ©lĂšvement Ă la source de l'impĂŽt sur le revenu, Art. 204 C, Art. 204 D, Art. 204 E, Art. 204 F, Art. 204 G, Art. 204 H, Art. 204 I, Art. 204 J, Art. 204 K, Art. 204 L, Art. 204 M, Art. 204 N, Art. 204 A, Art. 204 B A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1730, Art. 1731, Art. 1736 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1753 bis C A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1756, Art. 1771, Art. 1920 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1759-0 A A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©sterritorialesArt. L3664-1, Art. L5217-12-1, Art. L71-113-3, Art. L72-103-2, Art. L2321-2, Art. L3321-1, Art. L4321-1 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Livre des procĂ©duresfiscalesArt. L257-0 A A créé les dispositions suivantes -Livre des procĂ©duresfiscalesArt. L288 A A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 77, Art. 182 C, Art. 1663 A A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 87 A, Art. 89, Art. 89 A, Art. 151-0, Art. 170, Art. 201, Art. 202 A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1671 B A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1679 quinquies, Art. 1680, Art. 1681 ter, Art. 1681 quater A, Art. 1681 sexies A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1681 ter A, Art. 1681 ter B A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1684, Art. 1688, Art. 1723 ter-00 A, Art. 1724 quinquies, Art. 1729 B A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1729 G G. â 1. Sous rĂ©serve des 2 Ă 5 du prĂ©sent G, les A Ă F du prĂ©sent I s'appliquent aux revenus perçus ou rĂ©alisĂ©s Ă compter du 1er janvier Le 5° du B du prĂ©sent I s'applique aux dĂ©clarations mentionnĂ©es aux articles 87,88,240 et 241 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts affĂ©rentes aux revenus perçus ou rĂ©alisĂ©s Ă compter du 1er janvier 2017 et aux dĂ©clarations mentionnĂ©es Ă l'article 87-0 A du mĂȘme code affĂ©rentes aux revenus perçus Ă compter du 1er janvier Le 1°, le a du 4°, le 8°, les premier et deuxiĂšme tirets du a et le b du 9°, le 13°, le 15°, le 18°, le 22° et le a du 38° du B et le a du 1° du D du prĂ©sent I s'appliquent Ă l'imposition des revenus perçus ou rĂ©alisĂ©s Ă compter du 1er janvier Le 23° du B du prĂ©sent I s'applique Ă compter des impositions dues au titre de l'annĂ©e Le 2° du C du prĂ©sent I s'applique Ă compter du 1er septembre Les actions de communication menĂ©es par le Gouvernement sur la mise en place du prĂ©lĂšvement Ă la source informent en particulier sur l'option offerte au contribuable d'individualisation du taux de prĂ©lĂšvement du foyer fiscal, pour chacun des conjoints ou partenaires liĂ©s par un pacte civil de solidaritĂ© soumis Ă imposition phase de prĂ©figuration du prĂ©lĂšvement Ă la source de l'impĂŽt sur le revenu est ouverte aux dĂ©biteurs de la retenue Ă la source mentionnĂ©e au 1° du 2 de l'article 204 A du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du prĂ©sent article, Ă compter du mois de septembre 2018 et jusqu'Ă la mise en Ćuvre de ce les revenus versĂ©s entre le 1er septembre 2018 et le 31 dĂ©cembre 2018, les dĂ©biteurs ayant choisi de participer Ă la phase de prĂ©figuration prĂ©vue au A transmettent Ă chaque bĂ©nĂ©ficiaire de revenus tout ou partie des informations suivantes 1° Le taux du prĂ©lĂšvement Ă la source qui s'appliquerait Ă ses revenus ;2° Le montant de la retenue Ă la source qui serait effectuĂ©e ;3° Le montant du revenu sur lequel la retenue Ă la source serait effectuĂ©e ;4° Le montant de ce revenu net du montant de cette informations figurent sur le bulletin de salaire ou tout document la base du numĂ©ro d'inscription au rĂ©pertoire national d'identification des personnes physiques et des Ă©lĂ©ments d'Ă©tat civil communiquĂ©s par les dĂ©biteurs participant Ă la phase de prĂ©figuration, l'administration fiscale leur transmet le taux de prĂ©lĂšvement Ă la opĂ©rations sont rĂ©alisĂ©es et ces informations recueillies, dĂ©tenues ou transmises aux seules fins de la phase de prĂ©figuration prĂ©vue au prĂ©sent I de secret professionnel prĂ©vue Ă l'article L. 103 du livre des procĂ©dures fiscales s'Ă©tend Ă ces personnes qui contreviennent intentionnellement aux obligations prĂ©vues aux deuxiĂšme et troisiĂšme alinĂ©as du prĂ©sent C encourent les peines prĂ©vues Ă l'article 226-13 du code options prĂ©vues au IV de l'article 204 H et Ă l'article 204 M du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts sont ouvertes aux contribuables avant la transmission de leur taux de prĂ©lĂšvement en application de l'article L. 288 A du livre des procĂ©dures fiscales dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du prĂ©sent article ou du C du prĂ©sent I â A. â Les contribuables bĂ©nĂ©ficient, Ă raison des revenus non exceptionnels entrant dans le champ du prĂ©lĂšvement mentionnĂ© Ă l'article 204 A du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, tel qu'il rĂ©sulte de la prĂ©sente loi, perçus ou rĂ©alisĂ©s en 2018, d'un crĂ©dit d'impĂŽt modernisation du recouvrement destinĂ© Ă assurer, pour ces revenus, l'absence de double contribution aux charges publiques en 2019 au titre de l'impĂŽt sur le â Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent II est Ă©gal au montant de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018 rĂ©sultant de l'application des rĂšgles prĂ©vues aux 1 Ă 4 du I de l'article 197 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ou, le cas Ă©chĂ©ant, Ă l'article 197 A du mĂȘme code multipliĂ© par le rapport entre les montants nets imposables des revenus non exceptionnels mentionnĂ©s au 1 de l'article 204 A dudit code, les dĂ©ficits Ă©tant retenus pour une valeur nulle, et le revenu net imposable au barĂšme progressif de l'impĂŽt sur le revenu, hors dĂ©ficits, charges et abattements dĂ©ductibles du revenu global. Le montant obtenu est diminuĂ© des crĂ©dits d'impĂŽt prĂ©vus par les conventions fiscales internationales affĂ©rents aux revenus mentionnĂ©s au 1 du mĂȘme article 204 â Sont pris en compte au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II, pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A, les montants nets imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires, aux pensions ou aux rentes viagĂšres, Ă l'exception 1° Des indemnitĂ©s versĂ©es Ă l'occasion de la rupture du contrat de travail, Ă l'exception des indemnitĂ©s compensatrices de congĂ© mentionnĂ©es Ă l'article L. 3141-28 du code du travail, des indemnitĂ©s compensatrices de prĂ©avis mentionnĂ©es Ă l'article L. 1234-5 du mĂȘme code, des indemnitĂ©s de fin de contrat de travail Ă durĂ©e dĂ©terminĂ©e mentionnĂ©es Ă l'article L. 1243-8 dudit code et des indemnitĂ©s de fin de mission mentionnĂ©es Ă l'article L. 1251-32 du mĂȘme code ;2° Des indemnitĂ©s versĂ©es Ă l'occasion de la cessation des fonctions des mandataires sociaux et dirigeants ;3° Des indemnitĂ©s versĂ©es ou des avantages accordĂ©s en raison de la prise de fonction de mandataire social, mentionnĂ©s au troisiĂšme alinĂ©a de l'article L. 225-102-1 du code de commerce ;4° Des indemnitĂ©s de clientĂšle, de cessation d'activitĂ© et de celles perçues en contrepartie de la cession de la valeur de la clientĂšle ;5° Des indemnitĂ©s, allocations et primes versĂ©es en vue de dĂ©dommager leurs bĂ©nĂ©ficiaires d'un changement de rĂ©sidence ou de lieu de travail ;6° Des prestations mentionnĂ©es Ă l'article 80 decies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ;7° Des prestations de retraite servies sous forme de capital ;8° Des aides et allocations capitalisĂ©es servies en cas de conversion ou de rĂ©insertion ou pour la reprise d'une activitĂ© professionnelle ;9° Des sommes perçues au titre de la participation ou de l'intĂ©ressement et non affectĂ©es Ă la rĂ©alisation de plans d'Ă©pargne constituĂ©s conformĂ©ment au titre III du livre III de la troisiĂšme partie du code du travail, ainsi que des sommes mentionnĂ©es au a du 18° de l'article 81 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ;10° Des sommes retirĂ©es par le contribuable d'un plan mentionnĂ© au 9° du prĂ©sent C ;11° Des sommes issues de la monĂ©tisation de droits inscrits sur un compte Ă©pargne-temps, pour celles correspondant Ă des droits excĂ©dant une durĂ©e de dix jours ;12° Des primes de signature et des indemnitĂ©s liĂ©es aux transferts des sportifs professionnels ;13° Des gratifications surĂ©rogatoires, qui s'entendent des gratifications accordĂ©es sans lien avec le contrat de travail ou le mandat social ou allant au-delĂ de ce qu'ils prĂ©voient, quelle que soit la dĂ©nomination retenue ;14° Des revenus qui correspondent par leur date normale d'Ă©chĂ©ance Ă une ou plusieurs annĂ©es antĂ©rieures ou postĂ©rieures ;15° De tout autre revenu qui, par sa nature, n'est pas susceptible d'ĂȘtre recueilli peut demander Ă l'administration de prendre formellement position sur le traitement fiscal applicable aux Ă©lĂ©ments de rĂ©munĂ©rations versĂ©s. L'administration se prononce dans un dĂ©lai de trois mois lorsqu'elle est saisie d'une demande Ă©crite, prĂ©cise et complĂšte par un redevable de bonne foi. L'absence de rĂ©ponse de l'administration dans un dĂ©lai de trois mois vaut acceptation tacite de la demande de l'employeur. Un dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©cise les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent alinĂ©a, notamment le contenu, le lieu ainsi que les modalitĂ©s de dĂ©pĂŽt de cette â 1. Le montant net imposable du revenu foncier Ă retenir au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A est dĂ©terminĂ©, sous rĂ©serve des 2 et 3 du prĂ©sent D, dans les conditions prĂ©vues aux articles 14 Ă 33 quinquies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, au 3° du I de l'article 156 du mĂȘme code et au K du prĂ©sent montant est retenu Ă proportion de la part des recettes fonciĂšres suivantes dans le total des recettes fonciĂšres de l'annĂ©e 2018 1° Loyers et fermages perçus en 2018 directement ou indirectement par le contribuable et dont l'Ă©chĂ©ance est intervenue au titre de cette mĂȘme annĂ©e Ă raison de l'exĂ©cution normale des contrats ou conventions de toute nature conclus entre les propriĂ©taires et les les loyers et fermages Ă©chus en 2018 a Consistant en la remise d'immeubles ou de titres donnant vocation Ă la propriĂ©tĂ© ou Ă la jouissance de tels immeubles, de constructions ou d'amĂ©nagements en sont exclus ;b A raison de l'exĂ©cution des contrats ou conventions et couvrant une pĂ©riode de location supĂ©rieure Ă douze mois ne sont retenus que dans la limite d'un montant correspondant Ă douze mois ;2° Revenus des propriĂ©tĂ©s dont le propriĂ©taire se rĂ©serve la jouissance, mentionnĂ©s Ă l'article 30 du code gĂ©nĂ©ral des En cas de rupture d'un engagement, les majorations du revenu net foncier effectuĂ©es au titre de l'annĂ©e 2018 en application des f Ă m et o du 1° du I de l'article 31, de l'article 31 bis et du III de l'article 156 bis du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ne sont pas prises en compte dans le montant net imposable du revenu foncier mentionnĂ© au 1 du prĂ©sent Le montant de la rĂ©gularisation effectuĂ©e au titre de l'annĂ©e 2018 des provisions, mentionnĂ©es au a quater du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, dĂ©duites par le propriĂ©taire en 2017 au titre des dĂ©penses prĂ©vues au I de l'article 14-2 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis et correspondant Ă des charges non dĂ©ductibles n'est pas pris en compte dans le montant net imposable du revenu foncier mentionnĂ© au 1 du prĂ©sent â 1. Le montant net imposable des bĂ©nĂ©fices industriels et commerciaux, des bĂ©nĂ©fices agricoles et des bĂ©nĂ©fices non commerciaux Ă retenir au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A est dĂ©terminĂ©, pour chaque membre du foyer fiscal et pour chacune de ces catĂ©gories de revenus, dans les conditions prĂ©vues Ă l'article 204 G du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, Ă l'exception du 6° du 2 et du 4 du mĂȘme article 204 Le montant dĂ©fini au 1 du prĂ©sent E, le cas Ă©chĂ©ant aprĂšs application des abattements prĂ©vus aux articles 44 sexies Ă 44 septdecies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, est retenu dans la limite du plus faible des deux montants suivants 1° Le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1 du prĂ©sent E, avant application des Ă©ventuels abattements prĂ©vus aux mĂȘmes articles 44 sexies Ă 44 septdecies ;2° Le plus Ă©levĂ© des bĂ©nĂ©fices imposables au titre des annĂ©es 2015,2016 ou 2017, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1 du prĂ©sent E, avant application des Ă©ventuels abattements prĂ©vus audits articles 44 sexies Ă 44 prĂ©sent 2 n'est pas applicable lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable en 2018 est le premier bĂ©nĂ©fice dĂ©clarĂ© Ă la suite d'une crĂ©ation d'activitĂ© en 2018. Toutefois, lorsque le bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2019 par le membre concernĂ© du foyer, majorĂ© le cas Ă©chĂ©ant des traitements et salaires, des bĂ©nĂ©fices qu'il a rĂ©alisĂ©s relevant des autres catĂ©gories mentionnĂ©es au 1 du prĂ©sent E et des revenus des gĂ©rants et associĂ©s mentionnĂ©s Ă l'article 62 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts qu'il a perçus, imposables au titre de la mĂȘme annĂ©e 2019, est infĂ©rieur au bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2018, majorĂ© le cas Ă©chĂ©ant de ses revenus relevant des autres catĂ©gories prĂ©citĂ©es rĂ©alisĂ©s en 2018, le crĂ©dit d'impĂŽt est remis en cause Ă hauteur de la diffĂ©rence constatĂ©e, dans la limite de la diffĂ©rence, lorsqu'elle est positive, entre le bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2018 et le bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2019, sauf si le contribuable justifie que la baisse de son bĂ©nĂ©fice en 2019 rĂ©sulte uniquement de la variation de son activitĂ© par rapport Ă En cas d'application du 2° du 2 du prĂ©sent E, le contribuable peut obtenir un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire dans les conditions suivantes 1° Lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1, est supĂ©rieur ou Ă©gal au bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les mĂȘmes rĂšgles, le contribuable bĂ©nĂ©ficie d'un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire, lors de la liquidation du solde de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de 2019, Ă©gal Ă la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du 2 ;2° Lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1, est infĂ©rieur au bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les mĂȘmes rĂšgles, mais supĂ©rieur au plus Ă©levĂ© des bĂ©nĂ©fices imposables au titre des annĂ©es 2015,2016 ou 2017 retenus en application du 2° du 2, le contribuable bĂ©nĂ©ficie, lors de la liquidation du solde de l'impĂŽt sur le revenu au titre de 2019, d'un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire Ă©gal Ă la diffĂ©rence entre a Le crĂ©dit d'impĂŽt calculĂ© en retenant au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1 du prĂ©sent E ;b Et le crĂ©dit d'impĂŽt dĂ©jĂ obtenu en application du 2 du prĂ©sent E ;3° Lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1, est infĂ©rieur au bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les mĂȘmes rĂšgles, le contribuable peut bĂ©nĂ©ficier, par voie de rĂ©clamation, d'un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire Ă©gal Ă la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du 2 ou du 2° du prĂ©sent 3, s'il justifie que la hausse de son bĂ©nĂ©fice dĂ©clarĂ© en 2018 par rapport aux trois annĂ©es prĂ©cĂ©dentes et Ă l'annĂ©e 2019 rĂ©sulte uniquement d'un surcroĂźt d'activitĂ© en Pour l'application des 1 et 2, si le bĂ©nĂ©fice imposable au titre des annĂ©es 2015,2016 et 2017 s'Ă©tend sur une pĂ©riode de moins de douze mois, il est ajustĂ© pro rata temporis sur une Les contribuables mentionnĂ©s Ă l'article 151-0 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts qui ont dĂ©noncĂ© leur option en 2017 pour 2018 et qui ont exercĂ© une nouvelle option pour le versement libĂ©ratoire en 2018 pour 2019 ne bĂ©nĂ©ficient pas du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent â 1. Les montants nets imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires perçus dans les conditions mentionnĂ©es au 2 du prĂ©sent F Ă retenir au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A, aprĂšs application du C, sont retenus dans la limite du plus faible des deux montants suivants 1° Leur montant net imposable au titre de l'annĂ©e 2018 ;2° Le plus Ă©levĂ© de ces revenus imposables au titre des annĂ©es 2015,2016 ou Les dispositions du 1 du prĂ©sent F sont applicables 1° Aux rĂ©munĂ©rations perçues par les personnes qui, au sens des a et c du 2° du III de l'article 150-0 B ter du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, contrĂŽlent en 2018 la sociĂ©tĂ© qui les leur verse au cours de cette mĂȘme annĂ©e ;2° Aux rĂ©munĂ©rations perçues par les conjoints, ascendants, descendants ou frĂšres et sĆurs des personnes qui, au sens du 1° du prĂ©sent 2, contrĂŽlent la sociĂ©tĂ© qui les leur verse en 2018 au cours de cette mĂȘme Ces dispositions ne s'appliquent pas lorsque l'annĂ©e 2018 constitue la premiĂšre annĂ©e au titre de laquelle les personnes concernĂ©es perçoivent des rĂ©munĂ©rations mentionnĂ©es au lorsque les rĂ©munĂ©rations perçues en 2019 par ces personnes, majorĂ©es le cas Ă©chĂ©ant de leurs autres traitements et salaires, de leurs bĂ©nĂ©fices relevant des catĂ©gories mentionnĂ©es au 1 du E du prĂ©sent II et de leurs autres revenus de gĂ©rants et associĂ©s mentionnĂ©s Ă l'article 62 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts imposables au titre de cette mĂȘme annĂ©e, sont infĂ©rieures Ă celles perçues en 2018 de la mĂȘme sociĂ©tĂ©, majorĂ©es le cas Ă©chĂ©ant de ces mĂȘmes autres revenus rĂ©alisĂ©s en 2018, le bĂ©nĂ©fice du crĂ©dit d'impĂŽt est remis en cause Ă hauteur de la diffĂ©rence constatĂ©e, dans la limite de la diffĂ©rence, lorsqu'elle est positive, entre les rĂ©munĂ©rations perçues en 2018 et celles perçues en En cas d'application du 2° du 1 du prĂ©sent F, lorsque les rĂ©munĂ©rations imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires perçues de la mĂȘme sociĂ©tĂ© en 2019 sont supĂ©rieures ou Ă©gales Ă celles perçues en 2018, le contribuable peut demander, par voie de rĂ©clamation, la restitution de la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du le cas oĂč les rĂ©munĂ©rations imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires perçues de la mĂȘme sociĂ©tĂ© en 2019 sont infĂ©rieures Ă celles perçues en 2018 mais supĂ©rieures Ă la plus Ă©levĂ©e des rĂ©munĂ©rations perçues au titre des annĂ©es 2015,2016 ou 2017 retenues en application du 2° du 1 du prĂ©sent F, le contribuable peut demander, par voie de rĂ©clamation, la restitution d'une partie de la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du 1, Ă hauteur de la diffĂ©rence constatĂ©e entre les rĂ©munĂ©rations perçues en 2019 et, selon le cas, celles perçues en 2015,2016 ou dĂ©faut, la restitution de la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont le contribuable n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du mĂȘme 1 peut Ă©galement ĂȘtre demandĂ©e, sous rĂ©serve qu'il justifie, d'une part, que la hausse des rĂ©munĂ©rations dĂ©clarĂ©es en 2018 par rapport Ă celles perçues de la mĂȘme sociĂ©tĂ© les trois annĂ©es prĂ©cĂ©dentes correspond Ă une Ă©volution objective des responsabilitĂ©s qu'il a exercĂ©es ou Ă la rĂ©munĂ©ration normale de ses performances au sein de cette sociĂ©tĂ© en 2018 et, d'autre part, que la diminution de cette mĂȘme rĂ©munĂ©ration en 2019 est Ă©galement â AbrogĂ©H. â Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A et le crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E du prĂ©sent II accordĂ©s au titre de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018 s'imputent sur l'impĂŽt sur le revenu dĂ», respectivement, au titre des revenus 2018 ou 2019, aprĂšs imputation de toutes les rĂ©ductions d'impĂŽt, de tous les crĂ©dits d'impĂŽt et de tous les prĂ©lĂšvements ou retenues non Ă©ventuel est â En cas de transfert par le contribuable de son domicile fiscal hors de France au cours de l'annĂ©e 2018 1° Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent II est calculĂ© en tenant compte, pour la dĂ©termination, d'une part, du montant d'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de cette mĂȘme annĂ©e et, d'autre part, du dĂ©nominateur du rapport mentionnĂ©s au B du prĂ©sent II, des seules plus-values et crĂ©ances mentionnĂ©es aux I et II de l'article 167 bis du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts imposables suivant le barĂšme progressif de l'impĂŽt sur le revenu pour lesquelles il n'est pas sursis au paiement de l'impĂŽt correspondant ;2° Lors de la survenance de chaque Ă©vĂ©nement prĂ©vu au VII du mĂȘme article 167 bis, le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent II est, le cas Ă©chĂ©ant, rectifiĂ© en tenant compte, pour la dĂ©termination, d'une part, du montant d'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018 et, d'autre part, du dĂ©nominateur du rapport mentionnĂ©s au B du prĂ©sent II, de la plus-value ou crĂ©ance dĂ©finitive concernĂ©e par cet Ă©vĂ©nement. Le montant de la rectification effectuĂ©e est imputĂ©, le cas Ă©chĂ©ant, sur le montant de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» ou Ă restituer Ă raison de la survenance de l'un des Ă©vĂ©nements mentionnĂ© au VII dudit article 167 â Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A et le crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E du prĂ©sent II ne sont pas retenus pour l'application du plafonnement mentionnĂ© Ă l'article 200-0 A du code gĂ©nĂ©ral des â 1. Par dĂ©rogation aux articles 12,13,28 et 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, les charges de la propriĂ©tĂ© sont dĂ©ductibles dans les conditions suivantes 1° Celles mentionnĂ©es aux a bis, a quater et c Ă e bis du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, affĂ©rentes Ă des dettes dont l'Ă©chĂ©ance intervient en 2018, ne sont dĂ©ductibles que pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e 2018 ;2° Celles mentionnĂ©es aux a, b et b bis du 1° et aux c Ă c quinquies du 2° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts sont retenues, pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e 2019, Ă hauteur de la moyenne des montants respectivement supportĂ©s au titre de ces mĂȘmes dĂ©penses en 2018 et en le 2° du prĂ©sent 1 ne s'applique pas aux dĂ©penses affĂ©rentes Ă des travaux d'urgence rendus nĂ©cessaires par l'effet de la force majeure ou dĂ©cidĂ©s d'office par le syndic de copropriĂ©tĂ© en application de l'article 18 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, ni aux travaux effectuĂ©s sur un immeuble acquis en 2019, ni aux dĂ©penses affĂ©rentes a Ì des immeubles classĂ©s ou inscrits en 2019 au titre des monuments historiques ou ayant reçu en 2019 le label dĂ©livrĂ© par la Fondation du patrimoine en application de l'article L. 143-2 du code du patrimoine si ce label a Ă©tĂ© accordĂ© aprĂšs avis favorable du service dĂ©partemental de l'architecture et du Les provisions mentionnĂ©es au a quater du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts supportĂ©es par le propriĂ©taire en 2018 au titre des dĂ©penses prĂ©vues au I de l'article 14-2 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e et correspondant Ă des charges dĂ©ductibles ouvrent droit, Ă hauteur de 50 % de leur montant, Ă une dĂ©duction pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e Pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e 2020, les provisions mentionnĂ©es au a quater du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts sont diminuĂ©es Ă hauteur de 50 % du montant des provisions mentionnĂ©es au mĂȘme a quater supportĂ©es par le propriĂ©taire en 2019 au titre des dĂ©penses prĂ©vues au I de l'article 14-2 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e et correspondant Ă des charges l'application du 1° ter du II de l'article 156 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, les charges fonciĂšres sont dĂ©ductibles du revenu global annuel dans les mĂȘmes conditions et selon les mĂȘmes modalitĂ©s que celles prĂ©vues au K du prĂ©sent II pour la dĂ©termination des revenus nets fonciers l'imposition des revenus de l'annĂ©e 2019, le montant des cotisations ou primes dĂ©ductibles du revenu net global en application du 1 du I de l'article 163 quatervicies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă l'ordonnance n° 2019-766 du 24 juillet 2019 portant rĂ©forme de l'Ă©pargne retraite est Ă©gal Ă la moyenne des mĂȘmes cotisations ou primes versĂ©es en 2018 et en 2019, lorsque, d'une part, le montant versĂ© en 2019 est supĂ©rieur Ă celui versĂ© en 2018 et que, d'autre part, ce dernier montant est infĂ©rieur Ă celui versĂ© en â 1. L'administration fiscale peut demander au contribuable des justifications sur tous les Ă©lĂ©ments servant de base Ă la dĂ©termination du montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A ou du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E du prĂ©sent II sans que cette demande constitue le dĂ©but d'une procĂ©dure de vĂ©rification de comptabilitĂ© ou d'une procĂ©dure d'examen de situation fiscale demande indique expressĂ©ment au contribuable les points sur lesquels elle porte et lui fixe un dĂ©lai de rĂ©ponse qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă deux le contribuable a rĂ©pondu de façon insuffisante Ă la demande de justifications, l'administration fiscale lui adresse une mise en demeure d'avoir Ă complĂ©ter sa rĂ©ponse dans un dĂ©lai de trente jours, en prĂ©cisant les complĂ©ments de rĂ©ponse qu'elle le contribuable s'est abstenu de rĂ©pondre Ă la demande de justifications ou de complĂ©ments, l'administration fiscale peut remettre en cause le montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A ou du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E selon les procĂ©dures d'imposition d'office prĂ©vues aux articles L. 65 et suivants du livre des procĂ©dures la rĂ©ponse fait apparaĂźtre que le contribuable a procĂ©dĂ© Ă des opĂ©rations qui ont eu principalement pour objet et pour effet d'augmenter le montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A ou du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E, l'administration peut remettre en cause le montant de ces crĂ©dits d'impĂŽt selon les procĂ©dures prĂ©vues aux articles L. 55 Ă L. 61 du livre des procĂ©dures Pour l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018, le droit de reprise de l'administration fiscale s'exerce jusqu'Ă la fin de la quatriĂšme annĂ©e qui suit celle au titre de laquelle l'imposition est Seuls les revenus dĂ©clarĂ©s spontanĂ©ment par le contribuable sont pris en compte dans le calcul du montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A et du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du â Les revenus de l'annĂ©e 2018 mentionnĂ©s Ă l'article 204 C du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, lorsqu'ils sont soumis Ă la contribution prĂ©vue Ă l'article L. 136-6 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, dans les conditions prĂ©vues au III du mĂȘme article L. 136-6, ouvrent droit Ă un crĂ©dit d'impĂŽt dans les mĂȘmes conditions que celles prĂ©vues au A du prĂ©sent II, ainsi qu'Ă un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire dans les mĂȘmes conditions que celles prĂ©vues au 3 du montant du crĂ©dit d'impĂŽt est calculĂ© en appliquant au montant des revenus dĂ©terminĂ©s dans les conditions prĂ©vues au premier alinĂ©a du 2 de l'article L. 136-6-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale et aux B Ă F du prĂ©sent II le taux des contributions prĂ©vues, Ă l'article L. 136-6 du code de la sĂ©curitĂ© sociale et Ă l'article 15 de l'ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996 relative au remboursement de la dette sociale et du prĂ©lĂšvement prĂ©vu au 1° du I de l'article 235 ter du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, affĂ©rents Ă ces mĂȘmes crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au premier alinĂ©a du prĂ©sent M et le crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire accordĂ©s au titre des revenus de l'annĂ©e 2018 s'imputent sur les contributions et prĂ©lĂšvements mentionnĂ©s au deuxiĂšme alinĂ©a et dus, respectivement, au titre des revenus 2018 ou 2019. S'il excĂšde les contributions et prĂ©lĂšvements dus, l'excĂ©dent est L du prĂ©sent II est applicable au crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au premier alinĂ©a du prĂ©sent M et au crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire.
Monfournisseur a modifié les conditions générales lié à mon contrat le 28 mai, selon l'article L121-84 du code de la consommation je peux résilier mon abonnement sans qu'il ne soit en droit de me réclamer des échéances due à mon engagement. Voici l'article en question dans le courrier que j'ai déjà envoyé.
Actions sur le document Article L120-1 Les pratiques commerciales déloyales sont interdites. Une pratique commerciale est déloyale lorsqu'elle est contraire aux exigences de la diligence professionnelle et qu'elle altÚre, ou est susceptible d'altérer de maniÚre substantielle, le comportement économique du consommateur normalement informé et raisonnablement attentif et avisé, à l'égard d'un bien ou d'un service. Le caractÚre déloyal d'une pratique commerciale visant une catégorie particuliÚre de consommateurs ou un groupe de consommateurs vulnérables en raison d'une infirmité mentale ou physique, de leur ùge ou de leur crédulité s'apprécie au regard de la capacité moyenne de discernement de la catégorie ou du groupe. en particulier, des pratiques commerciales déloyales les pratiques commerciales trompeuses définies aux articles L. 121-1 et L. 121-1-1 et les pratiques commerciales agressives définies aux articles L. 122-11 et L. 122-11-1. DerniÚre mise à jour 4/02/2012
Siune clause est de nature Ă induire le client en erreur ou Ă lui cacher une information, les CGV pourront ĂȘtre qualifiĂ©es de pratiques commerciales trompeuses (articles L. 120 -1 et L. 121-1
Le nouveau Code de la consommation entrera en vigueur le 1er juillet 2016. Lâordonnance de recodification, qui vient dâĂȘtre publiĂ©e, vise Ă simplifier et amĂ©liorer la cohĂ©rence juridique des dispositions lĂ©gales, au bĂ©nĂ©fice des utilisateurs. Le droit de la consommation, depuis les premiĂšres mesures inscrites dans la loi en 1905 et la codification en 1993, a Ă©tĂ© renforcĂ© par Ă©tapes successives au niveau français et europĂ©en, afin de lâadapter constamment Ă lâĂ©volution des marchĂ©s et des pratiques commerciales. Lâordonnance relative Ă la partie lĂ©gislative du Code, qui vient d'ĂȘtre publiĂ©e au Journal officiel JO du 16 mars 2016, procĂšde Ă une recodification, Ă droit constant, pour rĂ©ordonner et remettre en cohĂ©rence ces dispositions. Le nouveau Code de la consommation entrera en vigueur le 1er juillet 2016, tant pour sa partie lĂ©gislative, objet de la prĂ©sente ordonnance, que pour sa partie rĂšglementaire, puisquâun dĂ©cret dâapplication sera publiĂ© trĂšs prochainement. La remise en cohĂ©rence du Code contribuera Ă amĂ©liorer lâintelligibilitĂ© et lâaccessibilitĂ© de la loi pour les diffĂ©rents utilisateurs les consommateurs bĂ©nĂ©ficieront ainsi dâun texte clarifiĂ© et ordonnĂ© selon les Ă©tapes de lâacte dâachat ; les professionnels auront une meilleure visibilitĂ© de leurs obligations. Ils pourront, dĂ©sormais, plus facilement identifier les rĂšgles applicables et le cadre dans lequel ils sont susceptibles dâĂȘtre contrĂŽlĂ©s, voire sanctionnĂ©s en cas de manquement ; lâadministration de contrĂŽle notamment la DGCCRF disposera de procĂ©dures et de pouvoirs dâenquĂȘte simplifiĂ©s et sĂ©curisĂ©s regroupĂ©s dans un livre dĂ©diĂ©. La DGCCRF accompagnera les utilisateurs pour leur permettre de sâapproprier rapidement la nouvelle numĂ©rotation des articles. Un tableau de concordance Ă©lectronique sera trĂšs prochainement mis Ă leur disposition sur le portail des ministĂšres Ă©conomiques et financiers.
. 14zm649hv7.pages.dev/7414zm649hv7.pages.dev/36414zm649hv7.pages.dev/6714zm649hv7.pages.dev/114zm649hv7.pages.dev/32114zm649hv7.pages.dev/7114zm649hv7.pages.dev/2514zm649hv7.pages.dev/88
l 121 1 du code de la consommation